This paper presents an overview of current opportunities and challenges facing efforts to increase the impact of rural and agricultural extension. The starting point for this analysis is in recognition that the days when agricultural extension was synonymous with the work of public sector agencies are over.
Ce document présente la position de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et du Forum mondial pour le conseil rural (GFRAS) sur la place actuelle des services de vulgarisation et de conseil agricole et sur les chemins qu’elle devra suivre à l’avenir. Les résultats présentés dans le document sont destinés à mieux situer la vulgarisation compte tenu de l’avenir de la recherche agricole en faveur du développement.
This is the third volume of the proceedings of the national conference on "Water for Food and Environment", which was held from June 9 -11, 2009 at the Bandaranaike Memorial International Conference Hall (BMICH). The volumes 1 and 2 have been produced as separate documents of this report series. In response to a call for abstracts, 81 abstracts were received from government institutes dealing with water resources and agriculture development, universities, other freelance researchers and researchers from the International Water Management Institute (IWMI).
The DURAS Project, which ran from 2004 to 2008, established a truly pioneering means of integrating innovation from science with that from communities themselves. At the heart of DURAS has been its innovative competitive grants system. Following an original selection and evaluation process that placed a premium on multi-stakeholder partnerships, 12 projects were funded in Africa and Asia over a period of three years, each involving an array of disciplines and partners.
This case study describes the history and business model of the Rural and Community Bank (RCB) network in Ghana, analyzes its performance, identifies key issues, and makes recommendations on the way forward. The study analyzes the service delivery and financial performance of the RCBs. Before the establishment of RCBs in the late 1970s and the subsequent expansion of other service providers into rural areas, access to institutional credit for farm and nonfarm activities was scarce. The main sources of credit were moneylenders and traders that charged very high interest rates.
African farming systems are highly heterogeneous: between agroecological and socioeconomic environments, in the wide variability in farmers’ resource endowments and in farm management. This means that single solutions (or ‘silver bullets’) for improving farm productivity do not exist. Yet to date few approaches to understand constraints and explore options for change have tackled the bewildering complexity of African farming systems. In this paper we describe the Nutrient Use in Animal and Cropping systems – Efficiencies and Scales (NUANCES) framework.
Le Tuy, province de l'Ouest du Burkina Faso est une région soudanienne à forte pression démographique et pastorale où se posent avec acuité des problèmes de fertilité des sols. Face à la dégradation des ressources naturelles, opter vivre dans son milieu natal et s'assurer une bonne production agropastorale nécessite de la part des acteurs des actions concertées. Le projet Fertipartenaires aide les producteurs de cette province à se concerter, à réfléchir à leurs problèmes, proposer et expérimenter des solutions et les évaluer afin d'améliorer leur sécurité alimentaire.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.