Inadequate feed and nutrition are major constraints to livestock production in sub-Saharan Africa. National and international research agencies, including the International Livestock Research Institute (ILRI), have developed several feed production and utilisation technologies. However, adoption of these technologies has so far been low. Identification of the major socio-economic and policy factors influencing the adoption of improved feed technologies is required to help design policy and institutional interventions to improve adoption.
Market opportunities are increasing at a rapid pace for livestock products, fuelled by rising incomes, globalisation and urbanisation, particularly in the developing world. At the same time, these opportunities bring increased complexity in the supply channels that market, distribute, organise and govern high-value products. This begs the questions on the ability of smallholder producers to contribute to this complex process.
With irrigated vegetables development, interventions on the uses of improved inputs such as water lifting devices; varieties; on-farm water, nutrient and pest management, and access to credit and market information were introduced in Atsbi-Womberta district, Ethiopia. Besides, skill and uptake capacity of vegetable growers, extension service providers and vegetable traders were improved accordingly.
Upon a request from Jimma University, IPMS conducted four days Training of Trainers Workshop on Results-Based Monitoring & Evaluation to the University staff. The training workshop was organized jointly by the University and ILRI-IPMS from January 16-19, 2012 at the College of Agriculture and Veterinary Medicine campus, Jimma. Thirty one participants drawn from different departments (Animal Science, Economics, Accounting, Information Science, Statistics, Epidemiology, Management, Rural development & Agricultural extension etc.) have attended.
This presentation was given at the CIDA Stakeholders’ Workshop, ILRI, Addis Ababa, 2 May 2012. It introduced the value chain concept, value chains and marketing channels, business development services, and value chain upgrading.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
Les politiques d'innovation dans les filières agricoles en Côte d'Ivoire depuis 2011 reposent sur la création d'un dispositif de transferts technologiques qualifié de "Plateformes d'Innovation", pour introduire des plants de variétés et d'hybrides améliorés. Cet article s'intéresse particulièrement aux conséquences des "Plateformes d'Innovation Banane Plantain" (PIP) dans la réorientation des choix technologiques locaux. Il interroge leurs résultats sur l'amélioration de l'indépendance alimentaire.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.