This report is part of the AFRHINET project under the ACP-EU Cooperation Programme in Science and Technology (S&T II). The overall aims of the project are to enhance options for sustainable integration of rainwater harvesting for irrigation through understanding adoption constraints and developing networks for capacity building and technology transfer. The African partners are Addis Ababa University and WaterAid-Ethiopia in Ethiopia, University of Nairobi and ICRAF-Searnet in Kenya, Eduardo Mondlane University in Mozambique, and University of Zimbabwe and ICRISAT-Zimbabwe in Zimbabwe.
This study has been produced with the overall goal to document and analyse exisiting best practices in the field of RWHI management in sub-Saharan Africa, with a special focus on Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe. This is meant to determine the suitability of RWHI management under multivariate biophysical and socioeconomic conditions. The best practices include specific information and know-how on the performance, cost-efficiency and impacts of RWHI technologies.
These advanced training materials have been produced to foster the capacity of practitioners from private, nongovernmental and public sectors on one hand, and academics and scientists on the other, to practically implement cost-efficient RWHI technologies and practices in arid and semi-arid areas. Therefore, these training materials intend to provide the required information to support proper planning, design and construction of cost-efficient RWHI technologies and practices, with special emphasis on the specific problems encountered in Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe.
These training materials have been produced to foster the capacity of key members of local communities to practically implement RWHI systems in a cost-efficient manner. The specific target group of these capacity building materials are local community members who are directly involved in the replication and scale-up of RWHI technologies and practices, i.e.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
Les politiques d'innovation dans les filières agricoles en Côte d'Ivoire depuis 2011 reposent sur la création d'un dispositif de transferts technologiques qualifié de "Plateformes d'Innovation", pour introduire des plants de variétés et d'hybrides améliorés. Cet article s'intéresse particulièrement aux conséquences des "Plateformes d'Innovation Banane Plantain" (PIP) dans la réorientation des choix technologiques locaux. Il interroge leurs résultats sur l'amélioration de l'indépendance alimentaire.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.