Over the past quarter century, Vietnam’s agricultural sector has made enormous progress. Vietnam’s performance in terms of agricultural yields, output, and exports, however, has been more impressive than its gains in efficiency, farmer welfare, and product quality. Vietnamese agriculture now sits at a turning point. The agricultural sector now faces growing domestic competition - from cities, industry, and services - for labor, land, and water. Rising labor costs are beginning to inhibit the sector’s ability to compete globally as a low cost producer of bulk undifferentiated commodities.
This report seeks to understand the successes, challenges and opportunities of Cambodia’s agricultural transformation over the past decade to derive lessons and insights on how to maintain future agricultural growth, and particularly on the government’s role in facilitating it. It is prepared per the request of the Supreme National Economic Council and the Ministry of Agriculture Forestry and Fisheries and is based on the primary farm data surveys from 2005 and 2013, and the secondary data from various sources.
This is the first investment climate assessment (ICA) for Myanmar. The main objectives of this ICA are to: (i) provide an up-to-date and fact-based analysis of the business environment for the government and other stakeholders in Myanmar to help prioritize and contextualize the reform agenda, and (ii) to offer a baseline for future assessments of progress in terms of the investment climate reform agenda. As requested by the government, the Myanmar ICA will directly support the ongoing reform program.
Botswana has been one of the worlds fastest growing economies over the past 50 years, allowing the country to move from being among the poorest to upper middle income status - this has had the effect of pulling the majority of the population out of poverty. While Botswana is rightly praised for its management of resource wealth, it is apparent that the high levels of investment by government (in health, education, and infrastructure) are not delivering quality outcomes, making it increasingly difficult to meet the objectives of growth, diversification, and poverty elimination.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
Les politiques d'innovation dans les filières agricoles en Côte d'Ivoire depuis 2011 reposent sur la création d'un dispositif de transferts technologiques qualifié de "Plateformes d'Innovation", pour introduire des plants de variétés et d'hybrides améliorés. Cet article s'intéresse particulièrement aux conséquences des "Plateformes d'Innovation Banane Plantain" (PIP) dans la réorientation des choix technologiques locaux. Il interroge leurs résultats sur l'amélioration de l'indépendance alimentaire.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.