This paper discusses how adapting food production systems to respond to consumer demand for healthier diets is a major opportunity to mitigate and adapt to climate change in agro-rural economies. It also addresses how existing technological solutions for climate change mitigation and adaptation need to create more balance between the production and consumption tiers of agrifood systems. Policy dialogue includes managing trade-offs between different sector and stakeholder interests and exploring synergies rather than focusing on exclusivity and competition.
This document presents a proposed methodology for public expenditure review and analysis for climate change adaptation and mitigation in the agriculture sector (PERCC) and its application to a case study of Kenya. It starts by explaining the basic methodological concepts, classification and labelling of public expenditures that allow for calculating spending in agriculture related to climate change adaptation and mitigation.
The study utilized WFP’s Consolidated Livelihood Exercise for Analyzing Resilience (CLEAR) approach which contains a baseline of major livelihood zones all over the country. CLEAR has provided the backbone to build the Philippines’ first livelihood zone maps which aim to provide information for the diversification of economic activities, aimed to ensure that its food systems are secure, peace and hunger are addressed, and the country is on a continuous path to sustainable development.
This case study chronicles Uganda’s experiences developing a gender-responsive National Adaptation Plan for the Agricultural Sector (NAP-Ag) and related capacity development for gender-responsive planning, budgeting and policy formulation.
El Catálogo latinoamericano de experiencias en agricultura familiar TEC 2018 presenta 31 soluciones innovadoras, que han logrado consolidarse como tecnologías sociales, o avanzan en tal dirección. Entendemos por tecnología social la innovación social estructurada por el conjunto de conocimientos, prácticas, métodos e instrumentos que han resuelto una problemática en una comunidad. Estas tecnologías que se caracterizan por su bajo costo, facilidad de aplicación y mínimo impacto ambiental, facilitan el proceso de apropiación por parte de otras comunidades.
La documentación de casos de éxito refiere una labor con satisfactores paralelos. Por una parte, la constatación inmediata de la correcta aplicación de la metodología y los recursos humanos y materiales destinados al Proyecto Estratégico de Seguridad Alimentaria (PESA) en México. Por otra parte, ser testigos de cómo los beneficios se reflejan en los productores, en las familias, en las comunidades y en las regiones.
Esta publicación producida por FONTAGRO, con el apoyo del Fondo para el Medio Ambiente Mundial y nuestros patrocinadores, reúne un conjunto de conocimientos y experiencias a partir de once casos exitosos que muestran cómo los agricultores, trabajando de forma participativa, han adoptado tecnologías que mejoraron de forma concreta la calidad de vida de sus familias y de la región.
Cette publication produite par FONTAGRO, avec le soutien du Fonds pour l’environnement mondial et de nos partenaires, recueille l’ensemble des connaissances et des expériences à partir de onze cas de réussite qui montrent comment les agriculteurs, travaillant de façon bparticipative ont adopté des technologies qui ont amélioré de manière concrète la qualité de vie de leurs familles et dans la région.
Lors de la conception de projets, il importe de faire intervenir les parties prenantes locales le plutôt possible afin de veiller à ce que les activités de renforcement des capacités répondent vraiment à leurs besoins. Les processus multipartites peuvent aussi mener à à une plus grande appropriation des activités et des résultantes des projets. La présente étude de cas offre un exemple de processus multipartite mis en place avec succès au Soudan pour renforcer les systèmes d’information sur la sécurité alimentaire et la nutrition dans quatre États.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.