Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Jardins partagés, potagers sur les toits, fermes pédagogiques… L’agriculture urbaine est plurielle. C’est aussi vrai pour les fonctions qu’elle joue. Découvrez-en plus dans l’article d’Anne-Laure sur le concept d’agriculture urbaine et ses différentes fonctions mais aussi ses chiffres clés en infographie (p.4-5) Les crises semblent être propices au développement de cette forme d’agriculture. Joana revient sur des initiatives portées en temps de crise au Royaume-Uni, à Cuba ou encore à Lisbonne.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
The research programme URBAL (Urban-driven Innovations for Sustainable Food Systems) (2018–2020), funded by Agropolis Fondation (France), Fondation Daniel & Nina Carasso (France/Spain), and Fundazione Cariplo (Italy), and coordinated by CIRAD (France) and the Laurier Center for Sustainable Food Systems at Wilfrid Laurier University (Canada), seeks to build and test a participatory methodology to identify and map the impact pathways of urban-driven innovations on all the dimensions of food systems sustainability.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
This is a chapter of the book Innovation platforms for agricultural development edited by Iddo Dror, Jean-Joseph Cadilhon, Marc Schut, Michael Misiko and Shreya Maheshwari.
This chapter presents an analytic framework to identify agricultural innovations that are sustainable and suitable for the poorest and most vulnerable parts of the population. The framework contains a set of tools to collect and evaluate information on appropriate innovations based on relevant criteria. It considers the dimensions of environmental resilience, economic viability, and social sustainability, as well as technical sustainability considering important properties of the innovation itself.
Este documento trata de estrategias de adaptación de los pequeños agricultores para enfrentar el cambio climático.
Climate change and climate variability are creating negative impacts to agriculture. It affects both food security and crop and livestock production. In the process, it affects the livelihood of communities. Climate-smart agriculture is seen as an alternative to mitigate the challenges of climate change. Literature studies were obtained from journal articles on capacity development. The problem investigated is that climate-smart agriculture (CSA) is a recent concept which needs to be understood with climate change, and the extension advisors do not have requisite skills.
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.