Le document de synthèse fournit une synthèse des concepts et des principes du cadre commun développé dans le cadre de la Plate-forme pour l'agriculture tropicale (TAP). L'objectif du Cadre Commun de la TAP est de promouvoir une meilleure cohérence et un impact plus fort du renforcement des capacités (RC) en soutien aux systèmes d'innovation agricole (AIS) sous les tropiques. Développé en 2015 à travers un processus hautement participatif, il a été convenu que le Cadre devrait fournir des bases conceptuelles et des indications pratiques.
La «Note d'Orientation sur l'Opérationnalisation» récapitule brièvement les fondements conceptuels et les principes du Cadre commun de travail pour le renforcement des capacités des systèmes d'innovation agricole et fournit également un guide détaillé de l'opérationnalisation de l'approche à Double Entrée du renforcement des capacités (RC) pour les systèmes d'innovation agricole (SIA). Le document offre aussi une stratégie de suivi et d'évaluation ainsi qu'une Boîte à Outils d'outils sélectionnés qui peuvent être utiles aux différentes étapes du RC pour les SIA.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.
Cette publication produite par FONTAGRO, avec le soutien du Fonds pour l’environnement mondial et de nos partenaires, recueille l’ensemble des connaissances et des expériences à partir de onze cas de réussite qui montrent comment les agriculteurs, travaillant de façon bparticipative ont adopté des technologies qui ont amélioré de manière concrète la qualité de vie de leurs familles et dans la région.
Pendant des décennies, la faiblesse des investissements publics dans l’agriculture a laissé les agriculteurs extrêmement vulnérables face à l’instabilité des prix, aux crises climatiques et économiques, et sans moyen pour sortir de la pauvreté. Les bailleurs de fonds et les gouvernements doivent concevoir le soutien à l’agriculture comme partie intégrante de la solution à long terme aux crises alimentaires, financières et climatiques.
Vu la complexité et les nombreuses facettes du projet PAEPARD, toute la difficulté est de s’assurer de communiquer les informations appropriées aux utilisateurs, rapidement et sous une forme facile à comprendre.
Les leçons et les recommandations mises en avant dans cette publication sont issues d’un atelier de capitalisation de PAEPARD qui a réuni tous les partenaires à Cotonou, au Bénin, du 2 au 6 octobre 2017. Cet atelier a joué un rôle essentiel dans l’évaluation globale de PAEPARD, car il a encouragé les participants à analyser leurs expériences relatives aux PMA afro-européens pour les processus de RAD facilités par PAEPARD durant ces sept dernières années. Lors des discussions, les partenaires ont réfléchi à l’avenir des activités de PAEPARD et à la pérennité de ses réalisations.
Ce document analyse de façon critique deux interventions majeures identifiées pour mettre en œuvre la stratégie de renforcement des capacités de PAEPARD. La première intervention est la formation d’un vivier de facilitateurs de l’innovation agricole (FIA) pour assurer une médiation entre les acteurs concernés et, ainsi, consolider des consortiums efficaces. PAEPARD prévoyait que les FIA encouragent l’engagement virtuel (par l’intermédiaire de Skype, d’e-mails ou des réseaux sociaux) et en personne des partenaires dans des processus de renforcement des capacités.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
L’évaluation participative repose sur le principe d’une participation active des principales parties prenantes (dont les groupes les moins organisés) à l’exercice d’évaluation. Cette démarche présente un certain nombre d’atouts qui peuvent se transformer en limites quasi rédhibitoires si certains préalables ne sont pas remplis. La finalité de cet article est de discuter des avantages et des inconvénients de la participation, ainsi que des conditions à réunir pour que l’évaluation participative puisse atteindre ses objectifs.