The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Quels sont les effets de l’implantation de méga-exploitations agricoles sur les différents groupes d’intérêt des territoires locaux ? Cette implantation provoque-t-elle de fortes ruptures ou une simple accélération des dynamiques en cours ? Sur la base d’une étude de cas à Madagascar, cet article s’intéresse aux recompositions du système agraire à Madagascar engendrées par l’installation récente d’une entreprise privée étrangère. Tandis que l’emploi se développe au bénéfice des plus petits agriculteurs, l’accès à la terre évolue au détriment des éleveurs les plus aisés.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Fin des années 1990 : le Brésil adopte une politique agricole duale fondée sur l’appui à l’agrobusiness et à l’agriculture familiale. Dans ce contexte, l’un des principaux enjeux porte sur la définition d’un modèle agricole destiné à améliorer le soutien à une agriculture familiale longtemps niée par les politiques agricoles successives. Cet article participe à cette réflexion, toujours d’actualité, en discutant les difficultés d’accompagnement de la « modernisation » de ce type d’agriculture.
Le delta intérieur du Niger est une des régions de l’Afrique de l’Ouest les plus touchées par les attributions foncières à grande échelle : entre 400 000 et 770 000 hectares auraient ainsi été alloués sous la forme de concessions pouvant, dans certains cas, atteindre 100 000 hectares. Cet accaparement des terres a progressé à une vitesse record et renvoie à quantité de projets, disparates par le type des investisseurs impliqués et par les objectifs poursuivis.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
The paper is one of a series of research papers that are designed to timely disseminate research and policy analytical outputs generated by the USAID funded Feed the Future Innovation Lab for Food Security Policy (FSP) and its Associate Awards. The FSP project is managed by the Food Security Group of the Department of Agricultural, Food, and Resource Economics at Michigan State University (MSU), and implemented in partnership with the International Food Policy Research Institute (IFPRI) and the University of Pretoria (UP).