Despite typically beingregarded as ‘low-tech,’ the Food Manufacturing and Technology Sectoris increasingly turning to open innovation practices involving collaboration with universities in order to innovate. Given the broad range of activities undertaken by this sector and thefact that it utilises analytical, synthetic, and symbolic knowledge for innovation, it makes an interesting case study on the factors that influence the formation of University-Industry links.
La qualité de la nutrition n’est pas encore bien intégrée au sein des politiques alimentaires mondiales. Pourtant, les conséquences sociales, économiques et sanitaires de la malnutrition sur les populations sont de plus en plus graves.
El proyecto insignia “Inclusión en la agricultura y los territorios rurales” del Instituto Interamericano de Cooperación para la Agricultura (IICA) pone énfasis en la inclusión de los segmentos que tradicionalmente han sido excluidos de los benefcios de los procesos de desarrollo de la agricultura y de las economías rurales.
Le projet fait partie de l’initiative spéciale du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) " Un seul monde sans faim". Les projets de ladite initiative spéciale contribuent la réduction de l’extrême pauvreté et la faim par la mise en place, dans le monde, de plusieurs projets globaux touchant différents secteurs. Les thèmes visés sont la sécurité alimentaire, la nutrition et la résilience.
La production et le commerce du lait sont révélateurs des enjeux de la lutte contre la pauvreté. La volatilité des prix du lait sur les marchés internationaux constituerait l’une des principales entraves au développement de filières laitières dans les pays du Sud. Cette année, la production de lait des pays pauvres représentera pourtant 48% de la production laitière mondiale; mais les produits laitiers importés du Nord mettent en difficulté les producteurs locaux.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
L’agroécologie est multidimensionnelle, car elle correspond à la fois à une discipline scientifique, à un ensemble de pratiques et à un mouvement social de contestation. Mais il serait erroné d’affirmer que tous les avis sont unanimes à propos de l’agroécologie. Ce dossier croise les analyses de plusieurs experts, d’acteurs du Sud et du Nord, concernés pas cette agriculture à la fois ancienne et nouvelle, qui a l’ambition d’apporter de vraies solutions pour l’avenir de la planète.
Los pequeños agricultores también contribuyen con las comidas escolares, incluyendo así alimentos frescos y localmente producidos que mejoran el rendimiento académico de niños y niñas y su permanencia en los centros educativos, al mismo tiempo que fortalecen la economía local. El Programa Mundial de Alimentos en Ecuador (PMA) trabaja, de manera conjunta con el Ministerio de Educación (MINEDUC), para complementar el Proyecto del Gobierno Nacional de “Intervención en la Alimentación Escolar” en centros educativos seleccionadas de la zona rural.
The project’s overall objective is to improve the rural population’s resilience to food insecurity by increasing their income through Castor oil plant, Honey, Beans and Goat value chains. GIZ is contributing to the Androy, Anosy and Atsimo- Antsinanana regions’ economic development and aims to integrate mainly vulnerable households in these chains, especially households run by a woman. GIZ has selected high potential sectors and wants to make sure that they can adapt to climate change.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.