Le présent texte analyse la trajectoire du mouvement alternatif ou écologique dans l’agriculture, en prenant comme référence des données et des informations provenant d’études réalisées au Brésil. Cette analyse privilégie les aspects liés à l’origine, à l’expansion et à l’institutionnalisation de l’agriculture écologique.
La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.
En étudiant les apprentissages produits par la mise en place des contrats territoriaux d’exploitation (CTE) puis des contrats d’agriculture durable (CAD) à l’île de la Réunion, nous montrons de quelle manière ces outils ont impulsé les prémices d’une agriculture durable dont nous pensons que les apprentissages sont une composante essentielle. Notre travail s’appuie sur des entretiens avec les acteurs du développement rural, techniciens des organisations de développement notamment.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
La remise en cause d'un modèle moderniste et productiviste en agriculture, bâti sur le développement des sciences et des techniques, se traduit par l'éclosion de formes originales de pratiques et de collectifs.
Este texto analiza de manera crítica las políticas de la biotecnología agrícola y el proceso social de construcción de posturas en torno a la regulación de los organismos genéticamente modificados (OGM) en Canadá y México desde la perspectiva de la gobernanza de la ciencia y tecnología, que se centra en la interacción entre política, ciencia y sociedad.
Desde los años 70, los estudios sobre adopción de innovaciones agrícolas han estado dominados por una perspectiva según la cual la decisión de adoptar es un asunto individual, centrado en la utilidad percibida por el productor. En años recientes ha crecido el interés por comprender el papel de la interacción social en estos procesos. Poco a poco, conceptos como capital o aprendizaje social han ganado terreno entre los analistas. Sin embargo, casi ningún estudio ha utilizado el Análisis de Redes Sociales.
El concepto de desarrollo sostenible (DS) tiene como punto de referencia el Informe de la Comisión Bruntland, donde se le describe como un “proceso capaz de satisfacer las necesidades de las generaciones presentes sin comprometer la capacidad de las generaciones futuras de satisfacer las suyas” (ONU,1987). Desde esa perspectiva, el desarrollo económico y el uso racional de los recursos naturales están inexorablemente unidos en el tiempo y el espacio.
Tradicionalmente en Paraguay el fin exclusivo de la producción agrícola había sido la alimentación humana y animal, pero este país ha incursionado en la producción de materias primas a partir de cultivos para la obtención de combustibles de origen biológico, el consumo de combustibles fósiles y la eventual mezcla con los derivados de petróleo. Los datos incluidos en este artículo contribuyen a un posterior estudio sobre los posibles efectos de su uso en distintas proporciones de rubros agrícolas de consumo humano y animal para la producción de biocombustibles a nivel nacional.