This technical report covers the rapid assessment of agriculture finance and its recommendations, the findings of the situation and gap analysis of the Uganda Agricultural Insurance Scheme (UAIS), and where appropriate, presents the WBG’s recommendations for strengthening the scheme; it also includes a proposal for two additional insurance programs, one for crop and one for livestock, targeted at small-scale farmers.
The purpose of this report is to present the findings from a study on the Economic Empowerment of Women through Resilient Agriculture Supply Chains: A Geospatial and temporal Analysis in Southwestern Bangladesh.
This report seeks to support the larger jobs study by examining how investment in South Sudan’s food sector can not only address food security needs, it can generate income and lay the foundation for livelihood and job creation in the country. It argues that applying a value chain lens to investments in the sector can contribute to creating direct, indirect, and induced labor in the food system. The goal is to move the country from a dependency on humanitarian aid to building recovery and resilience in the short term in a way that can produce stable jobs over the medium to long term.
Mongolia has a comparative advantage in agribusiness, especially downstream industries using livestock products. Yet its share in worldwide exports of agribusiness commodities is insignificant. Enhancing the efficiency of the central economic corridor (CEC) is vital to Mongolia’s effort to improve trade competitiveness and diversify exports. The role of Mongolia’s economic corridors is best understood when seen as an integral part of the country’s supply chain.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).
Aujourd’hui 60% des 870 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde sont des femmes et des filles qui vivent principalement dans les zones rurales du Sud. Pourtant, la Fao estime que les femmes produisent 60 à 80% des aliments de consommation familiale dans la plupart des pays en développement et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale ! Ce quarantième numéro de Dajaloo donne la parole à ces femmes qui ASSURENT!
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.