Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).
Aujourd’hui 60% des 870 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde sont des femmes et des filles qui vivent principalement dans les zones rurales du Sud. Pourtant, la Fao estime que les femmes produisent 60 à 80% des aliments de consommation familiale dans la plupart des pays en développement et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale ! Ce quarantième numéro de Dajaloo donne la parole à ces femmes qui ASSURENT!
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.
Agriculture is crucial for the livelihood of millions of people worldwide and is one of the main drivers of deforestation, biodiversity loss and resource degradation. The contribution of agriculture to these environmental problems has been exacerbated by subsidies, which constitute the dominant public policy to support farmers. At the same time, other economic instruments introducing more sustainable land-use practices and incentivizing better environmental and social outcomes are already being applied worldwide.
The study was designed to answer the following three key questions:
(1) What types of investment instruments have been tested to support innovation in agri-food systems in the Global South, and how can these be categorized into a working typology?
(2) What is the evidence on how well different instruments have supported SAI's multiple objectives (e.g. social equality and environmental) at scale and what contextual and design factors affect their success or failure in achieving these objectives (e.g. type of value chain, who participates)?
This shift in thinking will require major shifts in policy, research, and investment. But where should these investments go? What foundations should be strengthened? Which gaps need filling? What’s working? What’s not?
In order to answer these questions in an informed way, we need to examine the evidence that exists and identify areas where more research is needed.
But this is easier said than done.
What are the patterns of funding in agricultural innovation for the Global South1 ? Who are the key funders in this innovation and who are the key recipients? How doesthis funding split between various topics and value chains? What proportion of these funds support Sustainable Agricultural Intensification (SAI)? And how is SAI innovation funding split across different parts of the agriculture sector funding and innovation canvas?
Increasing investment and spending in agricultural innovation is not enough to meet Sustainable Development Goal (SDG) targets of ending poverty and hunger because the effectiveness of investments in low- and middle-income (LMI) countries is affected by the low quality of infrastructure and services provided, and by different norms and practices that create a considerable gap between financing known technical solutions and achieving the outcomes called for in the SDGs.