Lors de la conception de projets, il importe de faire intervenir les parties prenantes locales le plutôt possible afin de veiller à ce que les activités de renforcement des capacités répondent vraiment à leurs besoins. Les processus multipartites peuvent aussi mener à à une plus grande appropriation des activités et des résultantes des projets. La présente étude de cas offre un exemple de processus multipartite mis en place avec succès au Soudan pour renforcer les systèmes d’information sur la sécurité alimentaire et la nutrition dans quatre États.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.
Grâce à l’analyse des capacités réalisée en complément des activités visant à améliorer la nutrition, les parties prenantes ont pu obtenir une vue d’ensemble des obstacles auxquels les institutions sont confrontées en Ouganda.
Le manque de capacités individuelles et organisationnelles compromet souvent l’impact à long terme de programmes qui par ailleurs sont techniquement solides. La FAO a donc mis au point des outils destinés à aider les pays à déterminer les déficits de capacités et à répondre à leurs besoins réels de manière durable. La présente note décrit
Les pays investissent une grande partie de leur budget de renforcement des capacités dans l'apprentissage et la formation. Quelles mesures faudrait-il prendre pour s'assurer que ces investissements donnent des résultats utiles ? Le cycle de gestion de l'apprentissage élaboré par la FAO donne des précisions sur les étapes à suivre pour créer des activités d'apprentissage efficaces. La présente note d'information met en lumière les éléments principaux de ce processus et fournit des liens vers les outils et le matériel d'orientation.
For millennia, humans have modified plant genes in order to develop crops best suited for food, fiber, feed, and energy production. Conventional plant breeding remains inherently random and slow, constrained by the availability of desirable traits in closely related plant species. In contrast, agricultural biotechnology employs the modern tools of genetic engineering to reduce uncertainty and breeding time and to transfer traits from more distantly related plants.
Innovation is the main driver of agricultural and rural transformation. This video highlights support provided by FAO to countries in adopting and scaling-up sustainable practices, particularly by promoting agricultural innovation to smallholder farmers. FAO has developed and deployed a Fall Armyworm Monitoring and Early Warning System (FAMEWS).
Agricultural biotechnology and, specifically, the development of genetically modified (GM) crops have been controversial for several reasons, including concerns that the technology poses potential negative environmental or health effects, that the technology would lead to the (further) corporatization of agriculture, and that it is simply unethical to manipulate life in the laboratory. GM crops have been part of the agricultural landscape for more than 15 years and have now been adopted on more than 170 million hectares (ha) in both developed countries (48%) and developing countries (52%).
Genetically engineered (GE) foods apply new molecular technologies to Widely adopted in the United States, Brazil, and Argentina for the p corn, soybeans, and cotton, they are practically banned in Europe and tigh throughout the world. We have found that GE foods have significantly incr of corn, soybean, and cotton, and lowered their prices, thus improving food foods have already contributed to a reduction in the use of pesticides and
This brochure presents FAO ’s work on agricultural innovation. FAO advocates a shift from interventions focusing on single components of agricultural innovation towards a system-approach aimed at strengthening institutions and stakeholders’ networks that better respond to the needs of smallholder farmers.
Innovation has a high potential for increasing productivity and farmers’ income,l and consequently reducing poverty and improving food security. However several tropic al countries lack the resources and capacities to suitably develop their agricultural innovation systems. To address this gap, the g20 established the tropical agriculture platform (tap), a multilateral dynamic facilitation mechanism, which fosters better coherence and greater impact of capacity development for agricultural innova tion systems in tropical countries.