« Le riz, c’est la vie ».
Telle était la devise choisie, en 2004, par l’Organisation mondiale pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) afin de célébrer l’année internationale du riz. Nul qualificatif ne peut en effet mieux décrire le rôle stratégique joué par ce petit grain. Qu’il soit blanc, jaune, rouge, violet, gluant, consommé en grains, en pâte, en soupe, ou en dessert, le riz constitue un enjeu de taille pour la sécurité et la souveraineté alimentaires des pays en développement.
Cette édition illustre la possibilité d'utiliser les biocarburants comme source alternative au pétrol.
L’agriculture paysanne, valorisée dans le rapport remis par les experts de l’IAASTD, participe au développement durable. Forte utilisatrice de main d’œuvre, caractérisée par une utilisation raisonnée des intrants sur des cultures extensives, elle participe également au maintien du tissu social rural. L’agriculture paysanne est en général familiale. Les membres de la famille sont soucieux de préserver l’exploitation pour les générations futures.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
En 1995, SOS Faim entamait une première collaboration avec la coopérative La Florida dans la ‘Selva Central’, forêt semi-tropicale du centre du Pérou. Cette coopérative de petits producteurs de café sortait d’une grave crise suite à la présence importante du mouvement Sentier Lumineux dans la région : plusieurs dirigeants avaient été assassinés et les infrastructures détruites. En phase de redynamisation, elle recherchait une garantie pour obtenir un crédit auprès d’une banque locale pour collecter la production de ses membres et la commercialiser de manière groupée.
Smallholder farmers the world over like to raise cattle if they can and those in Lao PDR are no exception. “Cattle are our savings bank,” says Mr Phokham Keomanivong, a member of the Ban Keun cattle production group. “If you need money for an emergency or a special event like a wedding or a funeral, you can always sell a cow. “As much as they love their traditions, Ban Keun farmers see the need to change their practices, and the CDAIS project is helping them do just that.
“The CDAIS project brings an innovative methodology because it creates capacities in us as human beings” explains Carlos Valladares of the Intibucá Farmers Network. “This has improved our understanding of our situation, we have taken full responsibility for it, and are now better able to obtain and manage information to improve producer organizations”. Associations in the region have appreciated the spaces created by CDAIS that allow them to link with other stakeholders, find solutions to common problems, and now, to even take issues to the national policy level.
“El proyecto CDAIS brinda una metodología innovadora porque crea capacidades en nosotros como seres humanos”, explica Carlos Valladares de la Red Hortícola de Intibucá. “Esto ha ayudado a que entendamos mejor nuestra situación y nos apropiemos de ella. Ahora somos capaces de obtener y manejar información para mejorar la organización de los productores”. Las asociaciones en la región han aprovechado los espacios creados por CDAIS para articular con otros actores, encontrar soluciones a problemas en común y ahora, incluso, llevar los problemas a nivel de política pública.
Individual farmers often receive low prices for their harvest, and pineapple producers in Bangladesh are no exception. To help them, CDAIS facilitated a series of meetings and coaching. Starting with a capacity needs assessment workshop in April 2017, a coaching plan was developed to meet capacity gaps identified by the partnership of pineapple producers, complete with an action plan. The partnership also participated in a ‘marketplace’ event in Dhaka, a regional policy dialogue and two phases of capacity-building training. The result?
“We realized that we need to work together, and are now seeing changes happen” said Omar Ali, President of the newly formed Shibganj Mango Association. Farmers and orchard owners saw the need to change when interest in mango production grew after exports to the EU started in 2015. With technical assistance from several initiatives, the first 12 registered farmers began to follow ‘good agricultural practices’.