This report demonstrates that financial cooperatives can be sustainable providers of financial services in rural areas and development assistance needs to consider supporting them as a means to enhance access to rural finance. It does not suggest that financial cooperatives are the only providers or the preferred channel in all circumstances. For financial cooperatives to function as sustainable institutions, governments need to provide an enabling environment, not exercise excessive control that restricts growth and consolidation, and not use them as channels to provide subsidized credit.
As part of the Capacity Development for Agricultural Innovation System Project (CDAIS) a Policy Dialogue process is being implemented in the 8 pilot countries.
The purposes of the Policy Dialogue is to contribute to the improvement of the process of development or implementation of policies that promote agricultural innovation through improved dialogue and interaction among key stakeholders and, ultimately to contribute to the enhancement of the enabling environment for agricultural innovation.
CDAIS is a global partnership that aims to strengthen the capacity of countries and key stakeholders to innovate in the context of complex agricultural systems, to improve rural livelihoods. The goal of the Capacity Development for Agricultural Innovation Systems (CDAIS) project is to promote innovation that meets the needs of small farmers, small and medium-sized agribusiness, and consumers.
These guidelines have been elaborated by the CDAIS project to organize policy consultations at national level. In particular, they can be used by project teams (e.g. project managers, facilitators, policy consultants) for the planning of national policy dialogue events to discuss policy related issues emerged during the local consultations at innovation partnership level and require attention of national policy makers.
These guidelines have been elaborated by the CDAIS project to organize policy consultations at innovation partnership level. They can be used by project teams (e.g. project managers, facilitators, policy consultants) to plan and conduct workshops with representatives of the innovation partnership to discuss policy related issues that hinder the innovation process in a particular partnership.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?