Interest in farmland is rising. And, given commodity price volatility, growing human and environmental pressures, and worries about food security, this interest will increase, especially in the developing world. One of the highest development priorities in the world must be to improve smallholder agricultural productivity, especially in Africa. Smallholder productivity is essential for reducing poverty and hunger, and more and better investment in agricultural technology, infrastructure, and market access for poor farmers is urgently needed.
By 2050, it is estimated that the world s agricultural system will need to produce approximately 50 percent more food to feed an estimated 9 billion people. In emerging markets, agriculture is the most important economic sector and source of employment; more specifically, 75 percent of the world's poor live in rural areas and depend on agriculture for their incomes.
This publication presents the GEF-6 biodiversity strategy for 2014-2018. As the financial mechanism of the Convention on Biological Diversity (CBD) the GEF provides funding to help countries implement the Strategic Plan for Biodiversity, 2011-2020, and achieve the Aichi Targets. I am pleased that donors during the recently completed replenishment pledged $1.296 billion towards the biodiversity focal area for GEF-6, making it the largest individual focal area within the GEF.
The purpose of this Guidance Note is to help countries to assess the quality of public spending on science, technology, and innovation (STI). It adopts a results-oriented framework, combining the consolidation of STI expenditures with the analysis of their main outputs, intermediate outcomes, and developmental impact. The framework proposes the analysis of three main sources of deficiencies: (i) program design/implementation; (ii) institutional conditions; and the (iii) composition and level of public expenditure.
L’agriculture familiale est l’une des formes d’organisation de l’agriculture à travers le monde. Elle se décline en fait en une multiplicité de types concrets repérables au niveau des exploitations agricoles .
Ce guide est né d’une demande de paysans africains qui souhaitaient s’engager dans des pratiques agricoles plus respectueuses de leur environnement et plus durables. Il a été conçu comme un outil d’accompagnement destiné à tous les paysans et techniciens souhaitant développer l’agroécologie et l’agroforesterie en zone tropicale humide. Après un rapide rappel du contexte et des enjeux actuels de l’agroécologie, il fournit des informations techniques, issues de l’expérience de quatre « terrains » (République démocratique du Congo, Myanmar, Cambodge et Inde).
Le recueil crée un cadre qui permet de standardiser les
méthodes de sélection des indicateurs et propose une liste d’indicateurs de base
pour assurer le suivi et l’évaluation des activités du secteur de l’agriculture et
du développement rural (ADR). Sa finalité est d’améliorer la qualité du suivi et
de l’évaluation des programmes d’agriculture et de développement rural aux
niveaux national et mondial.
Le S&E est intrinsèquement difficile à réaliser et exige un niveau de capacité
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
El documento que presentamos fue pensado para que los técnicos, asesores, formadores, gestores, capacitadores, coordinadores o líderes, tanto de organizaciones rurales y asociaciones de productores, como de agencias de desarrollo –gubernamentales o de la sociedad civil― cuenten con un instrumento de apoyo para desarrollar unidades pequeñas de producción y de servicios rurales en una región parcular.
A lo largo de su historia, los servicios de Extensión y Asistencia Técnica en América Latina y el Caribe han sido un instrumento focalizado, mayormente, hacia la pequeña agricultura como una forma de mejorar las condiciones de vida en el entorno rural y llevar tecnologías (conocimientos) que sirvan no solo para aumentar la productividad, sino que devengan en un motor del desarrollo y un medio para alcanzar la seguridad alimentaria.