The United Nations predicts that we need to increase food production globally by 70 percent to feed 9.6 billion people by 2050. But at the same time, given the climate crisis, we need to significantly reduce the use of energy, water, and land needed to produce food and lower its carbon footprint. In other words, we must figure out how to produce and distribute more food using fewer resources and emissions. We must learn to do farming better with less.
The study report is based on case studies from Bangladesh (Sulaiman, 2010), Bolivia (Pafumi and Ulloa, 2010), DR Congo (Mbaye, 2010) and Ghana (Adjei-Nsiah and Dormon, 2010) which were carried out with the purpose of assessing needs and gaps with regard to the provision of innovation support services for climate change adaptation. It took the form of desk-studies complemented with key informant interviews.
The following contents were included in this newsletter (April–June 2014): the International Institute of Tropical Agriculture (IITA) held a two-day workshop on Engagement of Youth Entrepreneurship for Agricultural Transformation in Africa, from 28-30 May at IITA, Ibadan, Nigeria; cassava processing factory was established at the IITA Kalambo station in DR. Congo; project coordinator visits sites to evaluate project activities in Tanzania; stories on cassava, rice, wheat and maize were detailed.
This paper applies the framework for pro-poor analysis to welfare changes from a CGE-microsimulation model to analyze what are the better or worse models for agriculture modernization, and to estimate the contribution of growth and redistribution to changes in poverty in DRC. The findings indicate that labor-using technological change generates absolute and relative pro-poor effects whereas capital-using technological change leads to immiserizing growth.
While smallholder farmers are the primary food producers in Southern Africa, contributing to 90 percent of food production in some countries, often systems in the region do not support profitability for them. WFP is working across Southern Africa to address bottlenecks in food systems to enhance the resilience of smallholder farmers. This factsheet gives an overview of WFP’s approach to smallholder farmers.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
Cet article tente de répondre à la question suivante : au-delà des caractéristiques de l’exploitation agricole, quels sont les autres facteurs qui influencent les différents types d’innovation dans les filières stratégiques de l’agriculture algérienne ? En effet, la politique algérienne actuelle ambitionne de moderniser les filières stratégiques pour accroître la production, substituer la production nationale à l’importation et augmenter le volume des exportations.
On observe depuis une vingtaine d'années l'émergence de bassins de production maraîchère dans le Sahara algérien par la mobilisation des eaux souterraines profondes, en marge des oasis traditionnelles. Dans la vallée du Souf, les agriculteurs se sont orientés vers la culture de la pomme de terre, irriguée par des petits pivots artisanaux. L'objectif de l'article est d'analyser le processus d'innovation ayant permis l'émergence et la diffusion du pivot artisanal.