The creation of commercialization opportunities for smallholder farmers has taken primacy on the development agenda of many developing countries. Invariably, most of the smallholders are less productive than commercial farmers and continue to lag in commercialization. Apart from the various multifaceted challenges which smallholder farmers face, limited access to extension services stands as the underlying constraint to their sustainability.
The concept of an innovation system is used to understand how innovation contributes to economic growth. However, innovation systems do not evolve evenly in different parts of the world. This paper contributes to the ongoing debate on the emergence of innovation systems in the context of developing countries. It uses the Rwandan case, where agriculture is a dominant socio-economic sector with high innovation potential. It explores how stakeholder interactions and policies contribute to the emergence of an agriculture innovation system in Rwanda.
This study provides a model that supports systematic stakeholder inclusion in agricultural technology. Building on the Responsible Research and Innovation (RRI) literature and attempting to add precision to the conversation around inclusion in technology design and governance, this study develops a framework for determining which stakeholder groups to engage in RRI processes. We developed the model using a specific industry case study: identifying the relevant stakeholders in the Canadian digital agriculture ecosystem.
The paper aims at finding out how significantly stakeholders are consulted and involved by preparers, Ukrainian publicly-listed agricultural companies, while compiling sustainability reporting (SR) and by assurance providers, during assurance processes of SR. The paper’s main research question may be formulated as follows ‘How deeply stakeholders are involved at Ukrainian agricultural companies in the preparation of their sustainability reporting and assurance?’
FAO Eritrea, in partnership with the Ministry of Agriculture is implementing the national component of a global project entitled “Developing capacity in Agriculture Innovation System project: Scaling up the Tropical Agriculture Platform Framework”.
Le projet "Renforcer les capacités des systèmes d'innovation agricole: application et adaptation de l’approche de la plateforme d'agriculture tropicale (TAP-AIS)" vise à stimuler l'innovation pour la transformation des systèmes agricoles et alimentaires des pays partenaires en vue de mieux résister aux effets du changement climatique. Il intéresse ainsi le public technique ou pas, les jeunes et les media.
Dans de nombreux pays, les décideurs ont besoin d'informations pertinentes sur les systèmes d'innovation agricole (SIA) pour guider la formulation des stratégies et des instruments politiques de soutien à l'innovation.
Ce catalogue décrit une série de solutions agricoles pour les zones arides du Sahel et de la Corne de l'Afrique, utiles pour l'adaptation au changement climatique et l'atténuation de ses effets. Il est basé sur les interventions du programme Technologies pour la transformation de l'Agriculture en Afrique (TAAT). Ce programme, dirigé par l'Institut International d'Agriculture Tropicale (IITA), est à l'origine de nouvelles approches pour le déploiement de technologies éprouvées auprès des agriculteurs africains.
Le conseil agricole occupe une place prépondérante dans l’appui aux processus d’innovation, particulièrement dans les pays du Sud. Or, l’accompagnement de l’innovation nécessite une diversité de formes d’appuis, appelés services support à l’innovation (SSI). À partir d’une analyse exploratoire à Madagascar, cet article questionne la place du conseil agricole vis-à-vis de la diversité des organisations et des activités d’accompagnement de l’innovation.
L’érosion hydrique est une préoccupation agronomique, économique et environnementale importante en milieu semi-aride méditerranéen. Le choix de la méthode pour l’estimer dépend des données disponibles et des conditions de la zone d’étude. Cet article vise à quantifier et spatialiser l’érosion hydrique en utilisant l’équation universelle des pertes en sol (Universal Soil Loss Equation [USLE]) dans ses versions modifiée (Modified − MUSLE) et révisée (Revised − RUSLE) et couplées à un Système d’information géographique (SIG) : MUSLE-SIG et RUSLE-SIG.