Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
L’enjeu environnemental pour les territoires croît de façon exponentielle depuis une décennie. Les décideurs politiques s’emparent de cette mouvance et favorisent des actions qui entrent dans le projet dit durable. La Région Île-de-France choisit en partie de baser son développement territorial sur l’idéologie de l’« urban greening ». Elle met en œuvre des actions pour devenir la première Écorégion d’Europe d’ici une demi-douzaine d’années et, pour ce, favorise les mesures agro-environnementales. Un des piliers de ce développement est l’agriculture biologique.
Les investissements dans les agrocarburants en Afrique constituent une véritable question de développement. Ils sont pleinement concernés par le débat sur les acquisitions de terres à grande échelle et exposent les populations et les agricultures africaines à plusieurs types de risques. Dans le même temps, ils représentent une opportunité dans des pays où l’accès à l’énergie est sans doute un des principaux facteurs de blocage au développement. Certaines formes d’investissement peuvent être encouragées, à condition qu’elles profitent aux économies locales.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
Esta presentación muestra un ejemplo de fusión de productores, consumidores, agrónomos, nutricionistas y economistas que, juntos, han creado nuevos esquemas de mercadeo solidario y agro negocios alternativos para el desarrollo local.
La extensión es el proceso de intervención de carácter educativo y transformador, cuyo objetivo es el desarrollo económico y social de las familias rurales, a través de servicios de asistencia técnica, intercambio de tecnología, desarrollo de capacidades y capacitación. Este documento muestra como lograr estos servicios.
El objetivo de esta investigación fue identificar la oferta y demanda tecnológica para plantear alternativas en la innovación de la cadena agroalimentaria de maíz en el estado de Hidalgo, México. Se realizaron las siguientes etapas: 1) caracterización de la cadena; 2) identificación de los factores críticos; 3) distinción de demandas tecnológicas de conocimiento y política; 4) reconocimiento de la oferta tecnológica y 5) cuantificación de proyectos de investigación y política pública.
Resulta indispensable discutir los contenidos y las metodologías utilizadas para formar extensionistas, muchas veces focalizadas exclusivamente en conocimientos técnicos e implementadas según una lógica transferencista. Así, en este trabajo, a través de la realización de entrevistas, se analizan las necesidades formativas de los extensionistas rurales paraguayos indagando su función, los problemas a los que se enfrentan en su práctica y sus propios intereses formativos.
Este fascículo metodológico trata de la siguiente tareas estratégicas:
• Articulación de actores y redes para la elaboración de la estrategia.
• Análisis sistémico del territorio.
• Formulación de una visión de futuro para el territorio.
• Identifcación de motores de desarrollo y objetivos estratégicos.
• Elaboración de planes a mediano plazo, programas e ideas de proyectos estratégicos.
• Concreción de acuerdos y alianzas para impulsar la estrategia.
Este documento es una respuesta práctica a las necesidades que hemos observado a lo largo de los años por parte de los equipos técnicos y de actores sociales involucrados en los procesos de gestión del desarrollo rural en territorios. Es un material que asesora y que no debe ser aplicado como si fuera un formulario burocrático, de forma mecánica.