The increasing demand for agricultural commodities is a major cause of tropical deforestation. However, pressure is increasing for greater sustainability of commodity value chains. This includes the demand to establish new crop plantations and pasture areas on already deforested land so that new forest clearing for agriculture is minimized. Where tree crops are planted as part of agroforestry systems on deforested land, this amounts to a form of re-agro-forestation which can generate environmental benefits in addition to crop production.
Brazilian agriculture is facing another expansion cycle to the Cerrado region, more specific in the Northeast. The first agriculture expansion cycle to the Midwest was in seventies encouraged and developed by Brazilian Government with farmers from southern and southeast Brazil, which were traditional small farmers with some experience, low budget and a remarkable determination. All of these efforts after 20 years resulted in an outstanding development of a part of the country with economy based on agribusiness (soybean, corn, cotton, livestock, poultry, swine, etc.).
Findings from a survey on sources of income and land allocation outcomes of 578 households from 26 communities with diverse ethnic composition at distinct environmental settings in Ucayali (Peruvian Amazon) are used to contrast livelihood strategies featuring high forest and high agriculture dependency, examining whether agricultural intensification can be linked to lower deforestation. A typology of households based on their land use allocation profile was used to assess current and cumulative cleared land.
La CEPAL ha colaborado en la iniciativa La economía del cambio climático en Centroamérica (ECC CA) desde 2008 con el propósito de estimar y evidenciar los impactos de la variabilidad y del cambio climático, y propiciar la discusión sobre políticas públicas en sectores clave. Esta publicación es un resumen de los análisis de impactos potenciales del cambio climático y de las discusiones sobre opciones de políticas públicas en Guatemala generadas en el marco de la iniciativa ECC CA.
Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
C’est en 1954 que les paysans de la Commune rurale de l’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la culture de pomme de terre. Partie d’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait maintenant partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans pour faire face aux crises alimentaires.
Note de synthèse du rapport réalisé par la commission Agriculture et alimentation (C2A) de Coordination SUD. Il met en lumière les enjeux d’une adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques sous l’angle des politiques publiques à partir de l’étude de cas des politiques mises en place au Costa Rica, au Niger et au Vietnam.
il est possible et nécessaire aujourd’hui d’opérer un bilan du développement durable (DD) en s’appuyant sur les formes concrètes qu’il a prises depuis plus de vingt ans. Malgré les discussions, interrogations ou critiques que le terme a suscitées, il est sans conteste, depuis la conférence de Rio en 1992, l’horizon normatif des projets, programmes et politiques d’aide publique au développement qui opèrent concrètement sur les territoires, et il accompagne maintenant les stratégies d’entreprise.
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.