Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
On ne peut pas s’intéresser au monde rural sans parler des organisations paysannes (OP). Acteurs clés du développement rural, les OP sont des maillons importants entre le paysan et SOS Faim. Dans ce numéro, nous nous intéressons aux OP africaines car en Amérique latine, les regroupements de producteurs se manifestent davantage sous la forme de coopératives.
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
En 1995, SOS Faim entamait une première collaboration avec la coopérative La Florida dans la ‘Selva Central’, forêt semi-tropicale du centre du Pérou. Cette coopérative de petits producteurs de café sortait d’une grave crise suite à la présence importante du mouvement Sentier Lumineux dans la région : plusieurs dirigeants avaient été assassinés et les infrastructures détruites. En phase de redynamisation, elle recherchait une garantie pour obtenir un crédit auprès d’une banque locale pour collecter la production de ses membres et la commercialiser de manière groupée.
Este articulo buscó establecer un referente general que permita establecer líneas de investigación en la administración de los Agronegocios en México. En la primera parte se hace una retroexpectativa del medio en el cual se realizaban dichas actividades, y el cual sirvió de base para desarrollar trabajos de investigación tendientes a mejorar los sistemas de administración. Posteriormente se describe el entorno en el cual se desarrollan los agronegocios en la actualidad y las posibles tendencias de estos.
Este trabajo aborda la problemática de la visión reduccionista de la comunicación en el Instituto Nacional de Tecnología Agropecuaria (INTA) de la provincia de Catamarca, Argentina. A raíz de reconocer el predominio y la centralidad de la dimensión informativa en las acciones institucionales, (ver apartado 4), se pretende diseñar una estrategia de comunicación organizacional más proactiva a los objetivos del INTA. La finalidad consiste en reconfigurar los vínculos intersubjetivos para propiciar situaciones de comunicación desde la dimensión comunicacional.
Este articulo describe la realización de talleres con la finalidad de reflexionar sobre las acciones de comunicación en el territorio que aborda el proyecto del INTA: “Aportes para el desarrollo sustentable del área geográfica Valle Central y Este de la provincia de Catamarca” Además, para la construcción de la estrategia de comunicación, los talleres formaron parte de un proceso que demandó varias instancias de reflexión y de cambio de mirada sobre el alcance de la comunicación. El primero se efectuó en noviembre del 2013, luego en el 2014 y otro en el 2016.