Esta guía práctica se preparó en el marco del proyecto Desarrollo de capacidades para sistemas de innovación agrícola (CDAIS), una asociación mundial (Agrinatura, FAO y ocho países piloto) que tiene como objetivo fortalecer la capacidad de los países y las partes interesadas clave para innovar en sistemas agrícolas complejos. lograr mejores medios de vida rurales. CDAIS utiliza un enfoque de ciclo de aprendizaje continuo para apoyar los sistemas nacionales de innovación agrícola en ocho países de África, Asia y América Central.
This publication contains twelve modules which cover a selection of major reform measures in agricultural extension being promulgated and implemented internationally, such as linking farmers to markets, making advisory services more demand-driven, promoting pluralistic advisory systems, and enhancing the role of advisory services within agricultural innovation systems.
Over the past few decades, some countries in Asia have been more successful than others in addressing poverty and malnutrition. The key question is what policies, strategies, legislation and institutional arrangements have led to a transformed agricultural sector, effectively contributing to poverty alleviation and addressing malnutrition. The great majority of national policymakers within and outside the Asia-Pacific region are keen to understand the causes of agricultural development and transformation in successful countries in Asia.
Undertaking Capacity Needs Assessment (CNA) is critical for organizing appropriate capacity development interventions. AESA organised four workshops on CNA of EAS in India, Sri Lanka, Bangladesh and Nepal with the following objectives.
1. Identify capacity gaps among EAS providers
2. Finalise a methodology for undertaking capacity needs assessment.
The creation of Competitive Research Grants (CRGs) is globally recognized as an institutional innovation for improving the effectiveness of agricultural research. Unlike block grants for research, CRGs are expected to bring in many top-quality proposals from a wide range of actors, selecting the best out of them and thus getting more value for money.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
La production bananière de Guadeloupe a entrepris une conversion à l’environnement dans le cadre de son plan « banane durable 2008-2013 ». À l’aide d’un cadre théorique en sociologie de l’action publique, les auteures montrent un transfert partiel de la responsabilité de prise en charge des préoccupations environnementales des acteurs publics vers les acteurs privés, conduisant à des formes de privatisation de la gestion des externalités environnementales. La dimension environnementale est alors détournée par les acteurs privés afin de justifier des politiques publiques en leur faveur.