L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
Ce document présente la position de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et du Forum mondial pour le conseil rural (GFRAS) sur la place actuelle des services de vulgarisation et de conseil agricole et sur les chemins qu’elle devra suivre à l’avenir. Les résultats présentés dans le document sont destinés à mieux situer la vulgarisation compte tenu de l’avenir de la recherche agricole en faveur du développement.
To give more attention to the normative character of sustainable development, the Dutch Ministry of Agriculture, Nature, and Food Quality requested for a participatory approach to evaluate Dutch agriculture, which was characterized by stakeholder workshops, dialogue, and learning. This article describes and reflects on this approach, using the Fourth Generation Evaluation framework developed by Guba and Lincoln (Fourth generation evaluation, 1989).
This study examines the role of public–private partnerships in international agricultural research. It is intended to provide policymakers, researchers, and business decisionmakers with an understanding of how such partnerships operate, how they promote the exchange of knowledge and technology, and how they contribute to poverty reduction.
The USAID-Inma Agribusiness Program focuses on developing Iraq’s private agribusinesses by facilitating the formation of fully-integrated value chains and improving agricultural quality and production. Inma, the Arabic word for ‘growth’, connects farmers to markets, increases the competitiveness of Iraqi agribusinesses, and facilitates domestic and foreign agricultural partnerships.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
This brochure presents the UNDP approach to supporting capacity development and the policy statements that UNDP supports. These are backed up by ongoing research and analysis of capacity development theory, methods and applications. The services included are examples of capacity development initiatives that can be supported by UNDP or its partners. Additional UNDP resources on capacity development are listed at the end of the brochure.
By late in the twentieth century, scientists had succeeded in manip- ulating organisms at the genetic level, mainly by gene transfer. The major impact of this technology has been seen in the spread of geneti- cally modified (GM) crops, which has occurred with little controversy in some areas and with fierce controversy elsewhere. GM crops raise a very wide range of questions, and I address three areas of particular interest for anthropology and its allied fields.