Les mutations du secteur agricole bamiléké (Ouest-Cameroun) ont été très importantes depuis le milieu des années 80, marqué par la chute des prix du café, alors principale production du pays Bamiléké, et par la crise économique au Cameroun. Dans cette thèse, le concept de dispositif (Foucault, Moisdon, Maugeri, RIDT-INRA) est l'outil principal d'analyse de ce secteur agricole.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne.
mNutrition was a five-year global initiative supported by the Department for International Development (DFID) between 2013 and 2018, organised by GSMA and implemented by in-country mobile network operators (MNOs) and other providers. The evaluation was carried out by a consortium of researchers from Gamos, the Institute of Development Studies, and the International Food Policy Research Institute. This briefing summarises key evaluation findings and presents lessons learned on three key topics: 1.
The project’s overall objective is to improve the rural population’s resilience to food insecurity by increasing their income through Castor oil plant, Honey, Beans and Goat value chains. GIZ is contributing to the Androy, Anosy and Atsimo- Antsinanana regions’ economic development and aims to integrate mainly vulnerable households in these chains, especially households run by a woman. GIZ has selected high potential sectors and wants to make sure that they can adapt to climate change.
This paper provides a snapshot of the agriculture-nutrition nexus in the region, outlines the pathways through which agriculture can influence nutrition outcomes, elaborates on the objectives of the Leveraging Agriculture for Nutrition in South Asia (LANSA) research consortium within this context, and highlights the core findings of the six papers that form the body of this Special Issue. The paper ends with five key lessons that have emerged from this research, during this decade
Food security is a critical challenge – the World Bank includes it among the eight global challenges to be addressed at scale in 2024. Climate shocks, economic instability and geopolitics have significantly impacted crop yields and food supply chains.