Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
El documento que presentamos fue pensado para que los técnicos, asesores, formadores, gestores, capacitadores, coordinadores o líderes, tanto de organizaciones rurales y asociaciones de productores, como de agencias de desarrollo –gubernamentales o de la sociedad civil― cuenten con un instrumento de apoyo para desarrollar unidades pequeñas de producción y de servicios rurales en una región parcular.
El presente documento es elaborado en el marco del diseño de una Agenda de Extensión Rural Latinoamericana que contribuya a un desarrollo inclusivo. En esta etapa la Red Latinoamericana y del Caribe para Servicios de Extensión Rural, constituida en Noviembre del 2010, ha priorizado el trabajo en 4 temas relevantes siendo “La Extensión como parte de un sistema de innovación”, uno de ellos.
Los cambios acontecidos en la agricultura cubana a finales del siglo XX provocaron la ruptura del paradigma basado en la dependencia de importaciones, por lo que se precisó comenzar a construir un nuevo modelo técnico-económico sobre la base del desarrollo endógeno, asociado al fomento de capacidades innovadoras y de tecnologías sostenibles; ello exigió que los centros de desarrollo de conocimiento se centraran en la aplicación de innovaciones, mediante adecuados procesos de extensión rural.
El presente informe es resultado de un trabajo colectivo realizado por el Comité de Expertos de Alto Nivel y por un equipo de redacción al que encomendó esta tarea la 7asNIorce sobre Financiación Innovadora para la Agricultura, la Seguridad Alimentaria y la Nutrición. Esta 7asNIorce había sido creada por el Grupo Piloto de Financiamiento Innovador para el Desarrollo en su 9ª reunión plenaria, celebrada en Malí (Bamako) en junio de 2011.
La Red Agricultura G-20 ha sido una iniciativa conjunta del Instituto Interamericano de Cooperación para la Agricultura (IICA) y la Secretaría de Agricultura, Ganadería, Desarrollo Rural, Pesca y Alimentación (SAGARPA) de México, de cara a la VII Cumbre del Grupo de los 20 (G20). El objetivo de esta red virtual fue vincular a estudiantes, académicos y el sector civil para que expresaran sus opiniones y analizaran a profundidad los temas de la agricultura con miras al encuentro de líderes del G20, celebrado en la ciudad mexicana de Los Cabos en junio de 2012.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.