À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?
L’agroécologie est multidimensionnelle, car elle correspond à la fois à une discipline scientifique, à un ensemble de pratiques et à un mouvement social de contestation. Mais il serait erroné d’affirmer que tous les avis sont unanimes à propos de l’agroécologie. Ce dossier croise les analyses de plusieurs experts, d’acteurs du Sud et du Nord, concernés pas cette agriculture à la fois ancienne et nouvelle, qui a l’ambition d’apporter de vraies solutions pour l’avenir de la planète.
Source majeure d’alimentation pour une grande partie de l’humanité, les céréales étaient au coeur de la crise alimentaire en 2008. Elles sont de nouveau en première ligne. Aujourd’hui, les changements de modes de consommation des pays émergents, ainsi que la demande artificielle en agrocarburants, accentuent les problèmes liés à l’offre de céréales.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
El objetivo de este estudio fue identificar la estructura de la gobernanza para ampliar y consolidar el uso de prácticas de Adaptación basada en Ecosistemas (AbE) en agricultura. Se analizaron tres paisajes productivos distribuidos en tres países (Honduras, Guatemala y Costa Rica), caracterizados por la dedicación a la caficultura de pequeña escala. Para cada uno de estos paisajes se identificaron los actores que intercambian información entre la escala nacional y el nivel de los productores.
This paper comparatively analyzes the structure of agricultural policy development networks that connect organizations working on agricultural development, climate change and food security in fourteen smallholder farming communities across East Africa, West Africa and South Asia.
Las Plataformas de Innovación para implementar una Agricultura Sostenible Adaptada al Clima (PIASAC) para los pequeños agricultores fue un proyecto que tenía como objetivo generar conocimientos y capacidades locales sobre cambio climático y construir opciones de adaptación de manera participativa. El proyecto se llevó a cabo en el municipio de Gracias, ubicado en el Corredor Seco de Honduras.