Les systèmes alimentaires et agricoles actuels parviennent à fournir de grandes quantités d’aliments sur les marchés mondiaux. Cependant, les systèmes agricoles à forte intensité d’intrants externes et de ressources sont à l’origine d’une déforestation massive, de pénuries d’eau, d’une perte de biodiversité, d’un épuisement des sols et d’importantes émissions de gaz à effet de serre. En dépit des progrès significatifs accomplis récemment, la faim et l’extrême pauvreté demeurent des problèmes cruciaux au niveau mondial.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. Dans le passé, les formations sur les opérations après-récolte n’ont pas été normalisées entre les différents pays membres du programme P4P.
Tradicionalmente en Paraguay el fin exclusivo de la producción agrícola había sido la alimentación humana y animal, pero este país ha incursionado en la producción de materias primas a partir de cultivos para la obtención de combustibles de origen biológico, el consumo de combustibles fósiles y la eventual mezcla con los derivados de petróleo. Los datos incluidos en este artículo contribuyen a un posterior estudio sobre los posibles efectos de su uso en distintas proporciones de rubros agrícolas de consumo humano y animal para la producción de biocombustibles a nivel nacional.
The Policy Compendium for Rural Advisory Services (RAS) is a tool that contributes to filling the gap between the rural advisory services (RAS) policy environment and RAS efforts in the field. It helps direct decisions and facilitate successful policy processes and outcomes in extension and advisory services by making knowledge accessible, fostering synergies and promoting policy processes to improve RAS and rural development. It has two purposes.
La hidroponia o cultivo sin suelo es una técnica cuya importancia reside en su alta producción por metro cuadrado, gran eficiencia en el uso de agua y una multiplicidad de cultivos compatibles que brindan a los productores de zonas áridas y semiáridas una oportunidad interesante de producción (Birgi, 2015).
Les pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest sont confrontés à une dégradation continue et alarmante des ressources naturelles causée essentiellement par la pression des actions anthropiques sur l'environnement. Parmi ces ressources en dégradation, figurent en bonne place les terres. La dégradation des terres n’est pas seulement un problème sous régional, mais aussi un défi mondial. La communauté internationale s’est donc mobilisée à travers plusieurs mécanismes pour accompagner les efforts menés par les pays affectés.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.