L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
Le renforcement des capacités est maintenant d’une actualité brûlante en Afrique. Avec d’autres bailleurs de fonds, la banque recherche des moyens appropriés de collaborer avec les gouvernements africains pour les rendre mieux à même de mettre en oeuvre des programmes de développement sur tout le continent. Étant donné le caractère rural de la plupart des économies africaines et la concentration de pauvres dans les zones rurales, il est urgent de renforcer les capacités pour promouvoir le développement agricole.
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
Dans le besoin urgent de lutter contre le changement climatique, une priorité essentielle est de renforcer la capacité de ces groupes et communautés les plus vulnérables, et déjà fortement affectés, à améliorer leur capacité à adapter leurs systèmes de subsistance.
Ce guide technique sur le «consentement préalable, donné librement et en connaissance de cause» (CPLCC) établit des mesures concrètes permettant aux organisations gouvernementales de respecter et de protéger le CPLCC et aux organisations de la société civile, aux utilisateurs des terres et aux investisseurs privés dans le monde de s’acquitter de leurs responsabilités envers le CPLCC, conformément à ces Directives.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Cette étude a été menée dans le cadre du projet PAEPARD ou Plateforme pour un partenariat Afrique-Europe dans le domaine de la recherche agricole pour le développement, projet financé à 80% par la Commission européenne avec pour objectif de consolider la collaboration entre l’Afrique et l’Europe dans le domaine de la Recherche Agricole pour le Développement.
Le premier Marché des Innovations Agricoles (MIA) au Burkina Faso a eu lieu le 6 juillet 2017 à l’hôtel Laïco, à Ouagadougou. Il s’est tenu à « guichet fermé » : seuls les fournisseurs de service support à l’innovation et les bailleurs pré-identifiés par l’équipe du projet CDAIS comme étant pertinents pour renforcer les capacités des acteurs des Situations d’Innovation Localisées (SIL) ont été invités à y participer.
Ce cours en ligne massif (MOOC) gratuit sur la gestion des données ouvertes en agriculture et nutrition a été créé en 2016. Déjà en 2017 et 2018, plus de 5000 participants de partout dans le monde ont déjà suivi cette formation, laquelle est maintenant disponible pour une utilisation gratuite et sans restriction.