Depuis sa création, le Parc national du Mont Péko est sujet à diverses pressions anthropiques. Ces pressions ont été accentuées durant les conflits armés en Côte d’Ivoire entre 2002 et 2011. L’intensification des pressions aurait entraîné une augmentation du taux de déforestation dans le parc. Pour vérifier cette hypothèse, la présente étude visait à déterminer l’effet des conflits sur la dynamique forestière du parc. À cet effet, quatre images satellitaires Landsat ont été analysées pour examiner les changements d’occupation des sols avant, pendant et après les conflits.
Mobiliser les approches issues de l’Intelligence Artificielle (IA) en Santé Animale (SA) permet d’aborder des problèmes de forte complexité logique ou algorithmique tels que rencontrés en épidémiologie quantitative et prédictive, en médecine de précision, ou dans l’étude des relations hôtes × pathogènes.
Cet article tente de répondre à la question suivante : au-delà des caractéristiques de l’exploitation agricole, quels sont les autres facteurs qui influencent les différents types d’innovation dans les filières stratégiques de l’agriculture algérienne ? En effet, la politique algérienne actuelle ambitionne de moderniser les filières stratégiques pour accroître la production, substituer la production nationale à l’importation et augmenter le volume des exportations.
L'adoption des nouvelles technologies dans le secteur agricole marocain est devenue aujourd’hui une impérative nécessité. D’une part, pour suivre la tendance mondiale en matière d’innovation et rester compétitif, et d’autre part pour répondre à des enjeux purement agronomiques, économiques et environnementaux. L’objectif central de cet article est de s’interroger si le secteur agricole marocain dispose d’un environnement favorable pour l’introduction des innovations technologiques.
Le présent rapport devrait, grâce à tous les éléments analysés, aider les décideurs et l’ensemble des acteurs du secteur agricole dans leur prise de décision quant à l’utilisation et à la gestion des nouvelles technologies numériques en agriculture avec comme objectif afin de s’assurer que cette industrie demeure très compétitive.
La FAO, IBM et Microsoft cherchent des moyens concrets et durables d’utiliser l’intelligence artificielle dans le respect des principes d’éthique approuvés par le pape François 24 septembre 2020, Rome - Lors d'une manifestation organisée aujourd'hui à l'Académie pontificale pour la vie, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), IBM et Microsoft ont réitéré leur engagement en faveur de la mise au point de formes d'intelligence artificielle (IA) qui soient inclusives et promeuvent des moyens durables de concrétiser la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Depuis que les êtres humains sont passés à un mode de vie agraire, les progrès technologiques ont permis des évolutions dans l'agriculture, résultant en de plus grandes variétés et rendements des cultures. Après les révolutions de la sélection végétale et de la génétique, une troisième révolution verte prend le contrôle du monde agricole basé sur l'application des technologies de l'information et de la communication (TIC) telles que les capteurs et actionneurs, l'Internet des objets (IoT : Internet of Things), l'intelligence artificielle, les véhicules aériens sans pilote (UAVs, drones).
Les capteurs, allant du simple thermomètre jusqu’aux drones, se sont démocratisés dans les exploitations agricoles. Ils permettent désormais de collecter une multitude d’informations sur l’ensemble de l’exploitation et de transmettre en temps réel des données sur l’état et les performances des machines, des cultures et des animaux.
L’An deux mille vingt du 15 au 16 décembre 2020 s’est tenu à Bobo Dioulasso au Centre Agricole Polyvalent de Matourkou un séminaire académique sur le thème : Rôles des services de vulgarisation agro-sylvo-pastorales dans la mise à échelle des Pratiques climatointelligentes. Ce séminaire est Co-organisé par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA), World Agroforestry (ICRAF) et le Centre Agricole Polyvalent de Matourkou (CAP). La rencontre s’est tenue dans l’amphithéâtre 540 du CAP Matourkou.
Le présent rapport étudie les possibilités que les nouvelles avancées technologiques liées à l’automatisation et à l’agriculture de précision (la robotique, par exemple) peuvent offrir à l’agriculture dans les pays en développement. Ces technologies visent principalement à aider les agriculteurs appelés à faire face au coût de la main-d’oeuvre nécessaire pour les opérations de récolte, ainsi qu’à répondre au problème de la raréfaction de la main-d’oeuvre disponible pour l’ensemble des travaux agricoles.