One of the most important challenges for the researchers in the 21st Century is related to global heating and climate change that can have as consequence the intensification of natural hazards. Another problem of changes in the Earth's climate is its impact in the agriculture production. In this scenario, application of statistical models as well as development of new methods become very important to aid in the analyses of climate from ground-based stations and outputs of forecasting models. Additionally, remote sensing images have been used to improve the monitoring of crop yields.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
Over the last 10 years much has been written about the role of the private sector as part of a more widely-conceived notion of agricultural sector capacity for innovation and development. This paper discusses the emergence of a new class of private enterprise in East Africa that would seem to have an important role in efforts to tackle poverty reduction and food security. These organisations appear to occupy a niche that sits between mainstream for-profit enterprises and the developmental activities of government programmes, NGOs and development projects.
The relationships between agriculture, the environment, and development are deep and complex. By 2050 a 70 per cent increase in production will be needed to feed an additional 2.7 billion people on an already degraded natural resource base. In light of this and amid the realities of climate change, the agricultural sector is now coming to terms with its potential role for contributing to – rather than diminishing - environmental, institutional, social and economic resilience.
Society’s learning capacity in the field of sustainable land resource management is at stake and more emphasis on knowledge management is needed to guarantee that the accumulated knowledge is shared in such a way that the right actors have appropriate knowledge at the right time to take the best decisions. Efficient policies governing structures for national and regional knowledge management need to be formulated and the working procedures of the various actors in the field need to be defined more sharply.
En esta publicación se presenta una visión general de las oportunidades y las dificultades actuales de las iniciativas encaminadas a aumentar los efectos de la extensión agraria y rural. El punto de partida para este análisis reside en el reconocimiento de que se ha superado la visión de la extensión agraria como sinónimo de la labor de los organismos del sector público.