C’est en 1954 que les paysans de la Commune rurale de l’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la culture de pomme de terre. Partie d’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait maintenant partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans pour faire face aux crises alimentaires.
Note de synthèse du rapport réalisé par la commission Agriculture et alimentation (C2A) de Coordination SUD. Il met en lumière les enjeux d’une adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques sous l’angle des politiques publiques à partir de l’étude de cas des politiques mises en place au Costa Rica, au Niger et au Vietnam.
La agricultura familiar de los países del Sur constituye uno de los sectores más directamente afectados y amenazados por los cambios climáticos. La cuestión de la adaptación, y en particular, la de la adaptación de la agricultura, ha ido ganando terreno en el transcurso de la última década en las agendas políticas nacionales e internacionales.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
Following the food price crisis in 2008, African governments implemented policies aiming at crowding in investment in rice value chain upgrading to help domestic rice compete with imports. This study assess the state of rice value chain upgrading in West Africa by reviewing evidence on rice millers’ investment in semi-industrial and industrial milling technologies, contract farming and vertical integration during the post-crisis period 2009–2019. We find that upgrading is more dynamic in countries with high rice production and import bills and limited comparative advantage in demand.
Ce catalogue décrit une série de solutions agricoles pour les zones arides du Sahel et de la Corne de l'Afrique, utiles pour l'adaptation au changement climatique et l'atténuation de ses effets. Il est basé sur les interventions du programme Technologies pour la transformation de l'Agriculture en Afrique (TAAT). Ce programme, dirigé par l'Institut International d'Agriculture Tropicale (IITA), est à l'origine de nouvelles approches pour le déploiement de technologies éprouvées auprès des agriculteurs africains.
L’utilisation des services hydrométéorologiques et climatiques (SHMCs) constitue une opportunité pour le Mali dans ses efforts visant à réduire la pauvreté, renforcer la résilience et s’adapter au changement climatique. En effet, les SHMCs permettent de protéger les populations contre les risques climatiques à court terme ou à évolution rapide (inondations et tempêtes) et à long terme ou à évolution lente (p. ex. sécheresses et changement climatique durable).
In Chadakori, Niger, the Dimitra clubs offered training sessions on composting techniques. Trained farmers were asked to share their knowledge to 5,000 attendees, 60% of which were women. Almost 800 compost pits were built, producing 20 tons of organic matter, introdcuing cost-savings and boosting the richness of farm fields. The FMM subprogramme inspired radio stations to broadcast the results, motivating other villages to also learn about composting. Thanks to the support of the FMM, FAO is promoting inclusive community engagement and women’s empowerment in Africa.
The world’s population is likely to reach 9 billion by the middle of this century. The Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) believes that 60 per cent more food will be needed by 2050 to sustain all these people. Where possible, this food should be produced where it is needed – in developing countries.