Les agricultures familiales constituent la très grande majorité des agricultures du monde, la première source d’emploi en milieu rural et le premier fournisseur de biens alimentaires. Elles sont à l’honneur sur la scène internationale avec la proclamation par l’Organisation des Nations Unies de l’année 2014 « Année internationale de l'agriculture familiale » ; c’est l’occasion pour la communauté scientifique d’Agropolis International de témoigner de son fort engagement, depuis de nombreuses années, en matière de recherche « sur » et « pour » les agricultures familiales.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
L’agriculture familiale est le modèle d’exploitation le plus répandu en Europe. À ce titre, elle assure depuis des siècles la prospérité du secteur. L’ambitieux cadre stratégique mis en place par l’Union européenne a été conçu pour tenir compte des différents modèles d’agriculture qui coexistent sur son territoire, en ce compris les divers types d’agriculture familiale.
PAEPARD appuie et assiste trois consortiums de recherche liés à l’aflatoxine dans leur travail destiné à : (a) éradiquer les déchets de l’aflatoxine avant et après les récoltes dans la filière arachide au Malawi et en Zambie ; (b) développer des stratégies visant à réduire la contamination par des toxines fongiques pour améliorer l’approvisionnement alimentaire, la nutrition et les revenus le long de la filière maïs dans les zones arides et semi-arides de l’est du Kenya ; et (c) développer des protocoles de gestion des aliments du bétail pour les producteurs laitiers dans les zones à forte
This paper addresses the question how public-private partnerships (PPPs) function as systemic innovation policy instruments within agricultural innovation systems. Public-private partnerships are a popular government tool to promote innovations. However, the wide ranging nature of PPPs make it difficult to assess their effects beyond the direct impacts they generate for the partners.
Swedish agricultural companies, especially small farms, are struggling to be profitable in difficult economic times. It is a challenge for Swedish farmers to compete with imported products on prices. The agricultural industry, however, supports the view that through business model innovation, farms can increase their competitive advantage. This paper identifies and describes some of the barriers Swedish small farms encounter when they consider business model innovation. A qualitative approach is used in the study. Agriculture business consultants were interviewed.
The economic globalisation has opened new pathways for commerce and triggered a logistical revolution, which in turn has produced enormous technological innovations. In this context, the role of startups is becoming increasingly crucial since they are positioning themselves as innovation enablers among large and small companies. Between these innovations, IoT, Big Data Analytics and Blockchain can be used in various domains, among which the logistics of the whole wine supply chain.
Public-private partnerships (PPPs) have become a popular tool for governing rural development in a European context. PPPs are often presented as significant solutions for increasing both the effectiveness (problem-solving capacity) and the legitimacy of sustainable rural governance in terms of participation and accountability. In Sweden, where PPPs have played a marginal role, due to the EU cohesion policy they are now gaining ground as a model for the governance and management of natural resources in rural areas.
Invasive species such as Ambrosia (an annual weed) pose a biosecurity risk whose management depends on the knowledge, attitudes and practices of many stakeholders. It can therefore be considered a complex policy and risk governance problem. Complex policy problems are characterised by high uncertainty, multiple dimensions, interactions across different spatial and policy levels, and the involvement of a multitude of actors and organisations. This paper provides a conceptual framework for analysing the multi-level and multi-actor dimensions of Ambrosia management.
The privatization of agricultural research and extension establishments worldwide has led to the development of a market for services designed to support agricultural innovation. However, due to market and systemic failures, both supply side and demand side parties in this market have experienced constraints in effecting transactions and establishing the necessary relationships to engage in demand-driven innovation processes.