The report builds on the 'towards a vision for agricultural innovation in Chile in 2030' report and is further based on a series of background papers and a consultation process that took place between December 2010 and May 2011. The current study is the third in a series of three that were agreed between the Government of Chile and the World Bank to support the development of a long-term agricultural innovation strategy. The first paper reviewed the functioning of the three main public technological institutes and recommended how their performance can be improved.
Agriculture remains fundamental for Nicaragua from both a macroeconomic and social view. It is the largest sector of the Nicaraguan economy, and it remains the single biggest employer with around 30 percent of the labor force and including processed foods, like meat and sugar, agriculture accounts for around 40 percent of total exports value. Nicaragua appears to be gradually losing competitive edge of some of its key agricultural exports within the most important export markets.
Transgenic maize was approved in Brazil in 2008/2009. In 2012, it occupied 73% of the country maize growing area. This high adoption rate confirms studies indicating that technology use has been the major driving force in Brazilian agriculture. Maize seed market in the world has been a concentrated sector. Although, when this sector is associated with transgenesis, this concentration increases sharply. In one side, there is the idea that companies can benefit from gains of scale and complementarities to maximize their efficiency in research and development (R&D).
The "Technological Innovation Act", promulgated in Brazil in 2004, represents the main legal framework implemented to promote technological innovation and to delineate a favorable scenario for scientific development in Brazil. It regulates specially the relationship between Scientific and Technological Institutions (STI) - such as universities and public research institutes - and private companies in Brazil.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
La production bananière de Guadeloupe a entrepris une conversion à l’environnement dans le cadre de son plan « banane durable 2008-2013 ». À l’aide d’un cadre théorique en sociologie de l’action publique, les auteures montrent un transfert partiel de la responsabilité de prise en charge des préoccupations environnementales des acteurs publics vers les acteurs privés, conduisant à des formes de privatisation de la gestion des externalités environnementales. La dimension environnementale est alors détournée par les acteurs privés afin de justifier des politiques publiques en leur faveur.
Pour répondre à la montée en puissance des enjeux environnementaux, le monde agricole met en œuvre des dispositifs agri-environnementaux (AE) à destination des agriculteurs afin d’en orienter les pratiques.