Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Si elle ne prend pas en compte le secteur de la transformation qui la connecte aux marchés, l’agriculture vivrière commerciale ne sera pas en mesure de relever les défis de sécurité et de souveraineté alimentaires des pays ouest-africains. Tour d’horizon du potentiel du secteur agro-alimentaire et des effets de leviers à activer pour son développement.
Le renforcement des capacités est maintenant d’une actualité brûlante en Afrique. Avec d’autres bailleurs de fonds, la banque recherche des moyens appropriés de collaborer avec les gouvernements africains pour les rendre mieux à même de mettre en oeuvre des programmes de développement sur tout le continent. Étant donné le caractère rural de la plupart des économies africaines et la concentration de pauvres dans les zones rurales, il est urgent de renforcer les capacités pour promouvoir le développement agricole.
« Le riz, c’est la vie ».
Telle était la devise choisie, en 2004, par l’Organisation mondiale pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) afin de célébrer l’année internationale du riz. Nul qualificatif ne peut en effet mieux décrire le rôle stratégique joué par ce petit grain. Qu’il soit blanc, jaune, rouge, violet, gluant, consommé en grains, en pâte, en soupe, ou en dessert, le riz constitue un enjeu de taille pour la sécurité et la souveraineté alimentaires des pays en développement.
PAEPARD appuie et assiste trois consortiums de recherche liés à l’aflatoxine dans leur travail destiné à : (a) éradiquer les déchets de l’aflatoxine avant et après les récoltes dans la filière arachide au Malawi et en Zambie ; (b) développer des stratégies visant à réduire la contamination par des toxines fongiques pour améliorer l’approvisionnement alimentaire, la nutrition et les revenus le long de la filière maïs dans les zones arides et semi-arides de l’est du Kenya ; et (c) développer des protocoles de gestion des aliments du bétail pour les producteurs laitiers dans les zones à forte
This study sought to explain how leadership mechanisms enabled the actors in coffee innovation platforms to achieve their expectations. Data was collected through key informant interviews with 26 actors of the coffee steering committees; three focus group discussions of 19 participants and document review. Analysis was done using content and thematic analysis.
This paper captures lessons from recent experiences on using ‘theories of change’ amongst organisations involved in the research–policy interface. The literature in this area highlights much of the complexity inherent in the policymaking process, as well as the challenges around finding meaningful ways to measure research uptake. As a tool, ‘theories of change’ offers much, but the paper argues that the very complexity and dynamism of the research-to-policy process means that any theory of change will be inadequate in this context.
The purpose of this paper is to provide forward-looking recommendations for linking agriculture and nutrition by looking back over the 40 years since both nutrition and rural development began at the Bank in 1973. This paper sets out to explore whether what is currently being suggested has been attempted in the past; in what circumstances, with what sort of support or commitment, by what actors, and with what results.
Four FFSs concerning integrated crop–livestock systems were implemented by a R&D project namely “Adaptation to Climate Change in West Asia and North Africa (WANA) Marginal Environments through Sustainable Crop and Livestock Diversification (ACC project)” during the summer season 2013 in three villages namely Village 4, Village 7 and Village 1750 in Sinai Peninsula. This study aimed to do the following: (1) assess the learning impacts of farmer field schools of integrated crop–livestock package and (2) explore the factors that affect the respondents’ learning index.
This paper analyses a monitoring, evaluation and learning (MEL) system developed within an agricultural research for development institution. The system applies aspects of the Outcome Harvesting tool and focuses on learning for adaptation and improvement of innovation processes. Developmental evaluation principles are applied to discuss its application. The MEL system provides insight into the processes and interactions with next users that generate outcomes.