In 2011, the Platform for African European Partnership on Agricultural Research for Development (PAEPARD) launched the Users-led Process (ULP) to better articulate users’ needs in a multi-stakeholder research and innovation (R&I) partnership. The ULP comprises six critical steps: (1) Identification of a federating theme; (2) Desk review; (3) Introduction workshop; (4) Multi-stakeholder research question inception workshop; (5) Concept note development; (6) Full proposal development.
L’agriculture est aujourd’hui interpellée par la société, qui exige bien plus qu’une simple production alimentaire : aliments de qualité, services environnementaux, insertion de populations marginalisées, revitalisation des territoires ruraux, habitabilité des milieux urbains, développement de productions énergétiques… Cette ouverture des futurs agricoles incite les acteurs ruraux à expérimenter de nouveaux systèmes de production et valorisation, faisant ainsi preuve de créativité et d’obstination pour exister face aux modèles de développement dominants.
In order to facilitate improved returns to research and development in African agriculture, the innovation systems approach which engenders the involvement of multiple stakeholders in its innovation pathway, has been proposed. Despite the potential of this approach, the understanding of its implementation and particularly of the process of setting up its multi-stakeholder platform is still largely lacking. Yet, this platform is critical to the success and sustainability of the operations of the platform.
This publication represents a synthesis of assessments of national agricultural innovation systems in countries of Central Asia, South Caucasus and Turkey. The first chapter gives an introduction of the project “Capacity Development for Analysis and Strengthening of Agricultural Innovation Systems in Central Asia and Turkey”, out of which the current publication reports about one of the project outputs achieved.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
Pour répondre à la montée en puissance des enjeux environnementaux, le monde agricole met en œuvre des dispositifs agri-environnementaux (AE) à destination des agriculteurs afin d’en orienter les pratiques.
Ce document fait le bilan du projet de recherche-action Agora dédié au renforcement de la gouvernance de services publics dans des communes du Bénin, du Burkina Faso et du Mali. Mené par Cités Unies France, le Gret, le Laboratoire Citoyennetés et plusieurs partenaires locaux de 2011 à 2014, Agora a couplé des phases de recherche, d’animation et d’apprentissage à la concertation entre les opérateurs, élus, agents de services techniques et usagers. Il se caractérise par la participation effective d’une équipe de chercheurs au dispositif de concertation.
La FAO, en collaboration avec le ministère de l’agriculture du Gabon, a exécuté un projet d’intensification vivrière à travers la mécanisation agricole à Lébamba. En privilégiant l’approche Champs Ecoles Paysans (CEP), les populations regroupées en coopératives agricoles ont été formées sur les approches de l’agriculture durable, notamment à travers l’apprentissage de nouveaux itinéraires de culture. De plus, par l’utilisation des outils de mécanisation agricole, la pénibilité de leur travail est réduite et leur rendement est augmenté.
Con el objetivo de conocer aspectos relevantes que constituyen aprendizajes en el proceso de gestión del desarrollo local en el municipio Perico, provincia de Matanzas –Cuba–, se realizó un ejercicio de sistematización en el período 2013-2016. Para el análisis se tomó como guía las variables identificadas en el eje de «gestión para el desarrollo», en sus dimensiones productiva y cultural asociativa.
La Representación del IICA en Bolivia identifcó, dentro de su Estrategia de Cooperación Técnica 2014-2018 para el país, a la agricultura familiar como un pilar de focalización en las acciones y proyectos que se desarrollan en apoyo y por solicitud de las instituciones públicas, privadas, académicas y otros socios estratégicos.