Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Les conséquences sur les territoires des changements climatiques d’origine anthropique sont variables dans leurs expressions comme dans leurs effets, et les territoires sont inégaux face à ces variations climatiques en termes d’exposition aux effets (fonction de facteurs physiques, sociaux, économiques, culturels, politiques, etc.) comme en termes de capacité de réponse (capacité d’appréhension, d’anticipation, de réparation, etc.).
La sécheresse qui sévit dans le Sahel depuis les années 1970 a fortement réduit les productions dans les principaux secteurs d’activités que sont la pêche, l’élevage et l’agriculture. Dans le Delta Intérieur du Niger au Mali (DIN), la pêche dont le développement est intimement lié aux fluctuations inter-saisonnières et interannuelles de la crue du fleuve Niger, est en crise. Les prises ont diminué de moitié, beaucoup de pêcheurs sont partis, certains ont adopté des pratiques non durables et les règles sociales subissent d’importantes modifications.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Los cambios acontecidos en la agricultura cubana a finales del siglo XX provocaron la ruptura del paradigma basado en la dependencia de importaciones, por lo que se precisó comenzar a construir un nuevo modelo técnico-económico sobre la base del desarrollo endógeno, asociado al fomento de capacidades innovadoras y de tecnologías sostenibles; ello exigió que los centros de desarrollo de conocimiento se centraran en la aplicación de innovaciones, mediante adecuados procesos de extensión rural.
El Instituto Interamericano de Cooperación para la Agricultura (IICA) tiene como misión proveer esquemas de cooperación técnica a sus estados miembros en el continente americano. El documento que aquí se presenta sintetiza los resultados de la segunda fase del trabajo de la Red para la Gestión Territorial del Desarrollo Rural, la cual es un proyecto de cooperación técnica entre la SAGARPA, a través del INCA RURAL, y el IICA.
El presente informe es resultado de un trabajo colectivo realizado por el Comité de Expertos de Alto Nivel y por un equipo de redacción al que encomendó esta tarea la 7asNIorce sobre Financiación Innovadora para la Agricultura, la Seguridad Alimentaria y la Nutrición. Esta 7asNIorce había sido creada por el Grupo Piloto de Financiamiento Innovador para el Desarrollo en su 9ª reunión plenaria, celebrada en Malí (Bamako) en junio de 2011.
La Red Agricultura G-20 ha sido una iniciativa conjunta del Instituto Interamericano de Cooperación para la Agricultura (IICA) y la Secretaría de Agricultura, Ganadería, Desarrollo Rural, Pesca y Alimentación (SAGARPA) de México, de cara a la VII Cumbre del Grupo de los 20 (G20). El objetivo de esta red virtual fue vincular a estudiantes, académicos y el sector civil para que expresaran sus opiniones y analizaran a profundidad los temas de la agricultura con miras al encuentro de líderes del G20, celebrado en la ciudad mexicana de Los Cabos en junio de 2012.
Des facteurs structurels expliquent l’insécurité alimentaire en éthiopie : forte croissance démographique, faible productivité des parcelles agricoles, cultures majoritairement pluviales, réseau de communication quasi inexistant, etc. Malgré des moyens et des marges de productivité importants, les politiques agricoles n’ont pas permis de réduire les besoins en aide alimentaire de la population. Explications dans ce dossier.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?