Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?
L’agroécologie est multidimensionnelle, car elle correspond à la fois à une discipline scientifique, à un ensemble de pratiques et à un mouvement social de contestation. Mais il serait erroné d’affirmer que tous les avis sont unanimes à propos de l’agroécologie. Ce dossier croise les analyses de plusieurs experts, d’acteurs du Sud et du Nord, concernés pas cette agriculture à la fois ancienne et nouvelle, qui a l’ambition d’apporter de vraies solutions pour l’avenir de la planète.
Source majeure d’alimentation pour une grande partie de l’humanité, les céréales étaient au coeur de la crise alimentaire en 2008. Elles sont de nouveau en première ligne. Aujourd’hui, les changements de modes de consommation des pays émergents, ainsi que la demande artificielle en agrocarburants, accentuent les problèmes liés à l’offre de céréales.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
This report, drawing on a rapid desk-based review, seeks to outline the potential role of Afican Advisory Services (AAS) in addressing climate change and explores how far AAS in sub-Saharan Africa (SSA) are able to respond to climatic and other pressures. Recommendations are outlined, indicating how AFAAS can help AAS to understand climate change better and become more ‘adaptive’ in their responses
This report is the result of a study that was carried out for the African Forum for Agricultural Advisory Services (AFAAS), to make an inventory of experiences with ‘market-oriented agricultural advisory services’ (MOAAS). Lessons learned have been drawn from the cases studied. These lessons are the basis for guidelines formulated for setting up market-oriented agricultural advisory services.
This article presents a different dimension of the innovation systems approach, going beyond analysis and shedding light on how these processes can be facilitated in practice. This is based on 20 years' experience with innovations systems. The focus is on the role of facilitation in triggering the changes, as well as in integrating learning and knowledge management (KM) in the innovation process.
This is an internal document for the phase I of CGIAR Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security (CCAFS). The phase II capacity development strategy can be found here: https://hdl.handle.net/10568/82591. Capacity enhancement is a central priority for CCAFS.
Papa Andina began as a regional research program focusing on the Andean potato sectors of Bolivia, Ecuador and Peru, but later shifted its focus to facilitating pro-poor innovation. To accomplish this shift, a number of approaches were developed to foster innovation, by facilitating mutual learning and collective action among individuals and groups with differing, often conflicting, interests.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.