Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?
Source majeure d’alimentation pour une grande partie de l’humanité, les céréales étaient au coeur de la crise alimentaire en 2008. Elles sont de nouveau en première ligne. Aujourd’hui, les changements de modes de consommation des pays émergents, ainsi que la demande artificielle en agrocarburants, accentuent les problèmes liés à l’offre de céréales.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
Chez nous, certains en rêveraient presque … fini le chant du coq à 5h du matin, les odeurs de purin dans les campagnes, les manifestations des producteurs de lait à coup de tracteurs qui bloquent les entrées des villes, et aussi terminé l’argent du contribuable «gaspillé» dans le gouffre des subventions agricoles. D’autres, avec un haussement d’épaules, ne noteraient peut-être même pas la différence.
Este artículo de revista describe el papel de La alianza de información y documentación agropecuaria de las Américas (SIDALC) en sus diez años de experiencia. De acuerdo con el texto el SIDALC ha permitido a más de 150 instituciones de la América Latina y el Caribe, gracias a la cooperación técnica del IICA, a mantener en operación un sistema de información y documentación sobre agricultura, ambiente, alimentación y áreas afines en el hemisferio.
Este artículo de revista describe la experiencia de un agricultor de la viticultura, que gracias a su visión a podido establecer metas y lograr conquistas. Enseña a otros emprendedores rurales a desarrollar una visión y a establecer metas y describe la ruta para alcanzarlas.
Este artículo de revista describe el papel de la inteligencia emocional en las empresas y organizaciones. Describe como esta inteligencia puede ayudar a mantener la calma en situaciones estresantes, fortalecer el espíritu empresarial, mirar oportunidades y manejar mejor clientes y trabajadores.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.