Grâce à l’analyse des capacités réalisée en complément des activités visant à améliorer la nutrition, les parties prenantes ont pu obtenir une vue d’ensemble des obstacles auxquels les institutions sont confrontées en Ouganda.
Le manque de capacités individuelles et organisationnelles compromet souvent l’impact à long terme de programmes qui par ailleurs sont techniquement solides. La FAO a donc mis au point des outils destinés à aider les pays à déterminer les déficits de capacités et à répondre à leurs besoins réels de manière durable. La présente note décrit
Les pays investissent une grande partie de leur budget de renforcement des capacités dans l'apprentissage et la formation. Quelles mesures faudrait-il prendre pour s'assurer que ces investissements donnent des résultats utiles ? Le cycle de gestion de l'apprentissage élaboré par la FAO donne des précisions sur les étapes à suivre pour créer des activités d'apprentissage efficaces. La présente note d'information met en lumière les éléments principaux de ce processus et fournit des liens vers les outils et le matériel d'orientation.
Innovation has a high potential for increasing productivity and farmers’ income,l and consequently reducing poverty and improving food security. However several tropic al countries lack the resources and capacities to suitably develop their agricultural innovation systems. To address this gap, the g20 established the tropical agriculture platform (tap), a multilateral dynamic facilitation mechanism, which fosters better coherence and greater impact of capacity development for agricultural innova tion systems in tropical countries.
In Asia and the Pacific, the UN’s Food and Agriculture Organization (FAO) is working with member countries to leverage breakthroughs in information and communication technologies (ICT) to fight hunger, improve nutrition and counter the effects of climate change and extreme weather events that can devastate farmers and their crops. In the Philippines, a country prone to typhoons, aerial drones are taking to the sky to map out at-risk areas of agricultural land to mitigate risk. This innovative practice is also able to quickly assess damages when a disaster strikes.
This paper examines how the different institutional innovations arising from various permutations of linkages and interactions of ARD organizations (national, international advanced agricultural research centres and universities) influenced the different outcomes in addressing identified ARD problems.
LenCD has prepared a joint statement on results and capacity development (presented in this publication), which stresses that meaningful, sustainable results are premised on proper investments in capacity development and that these results materialize at different levels and at different times, along countries’ development trajectory. To provide evidence in support of this statement, LenCD launched a call for submission of stories.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Increasingly, (inter)national development organisations are investing in programmes for youth in agribusiness throughout Africa.
Utilization of systems approach using multistakeholder process as modality of intervention has been increasingly experimented in agricultural research in tropical zones. Recent research findings indicated strong evidence of the positive contribution of research for development (R4D) and innovation platforms (IP) in increasing the impact of research for development interventions. However, specific factors of the process leading to higher impact yet to discovered.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.