La FAO, IBM et Microsoft cherchent des moyens concrets et durables d’utiliser l’intelligence artificielle dans le respect des principes d’éthique approuvés par le pape François 24 septembre 2020, Rome - Lors d'une manifestation organisée aujourd'hui à l'Académie pontificale pour la vie, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), IBM et Microsoft ont réitéré leur engagement en faveur de la mise au point de formes d'intelligence artificielle (IA) qui soient inclusives et promeuvent des moyens durables de concrétiser la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Lors de la conception de projets, il importe de faire intervenir les parties prenantes locales le plutôt possible afin de veiller à ce que les activités de renforcement des capacités répondent vraiment à leurs besoins. Les processus multipartites peuvent aussi mener à à une plus grande appropriation des activités et des résultantes des projets. La présente étude de cas offre un exemple de processus multipartite mis en place avec succès au Soudan pour renforcer les systèmes d’information sur la sécurité alimentaire et la nutrition dans quatre États.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.
Grâce à l’analyse des capacités réalisée en complément des activités visant à améliorer la nutrition, les parties prenantes ont pu obtenir une vue d’ensemble des obstacles auxquels les institutions sont confrontées en Ouganda.
Le manque de capacités individuelles et organisationnelles compromet souvent l’impact à long terme de programmes qui par ailleurs sont techniquement solides. La FAO a donc mis au point des outils destinés à aider les pays à déterminer les déficits de capacités et à répondre à leurs besoins réels de manière durable. La présente note décrit
Innovation has a high potential for increasing productivity and farmers’ income,l and consequently reducing poverty and improving food security. However several tropic al countries lack the resources and capacities to suitably develop their agricultural innovation systems. To address this gap, the g20 established the tropical agriculture platform (tap), a multilateral dynamic facilitation mechanism, which fosters better coherence and greater impact of capacity development for agricultural innova tion systems in tropical countries.
In Asia and the Pacific, the UN’s Food and Agriculture Organization (FAO) is working with member countries to leverage breakthroughs in information and communication technologies (ICT) to fight hunger, improve nutrition and counter the effects of climate change and extreme weather events that can devastate farmers and their crops. In the Philippines, a country prone to typhoons, aerial drones are taking to the sky to map out at-risk areas of agricultural land to mitigate risk. This innovative practice is also able to quickly assess damages when a disaster strikes.
As the name suggests, the original aim of the Rural Knowledge Network (RKN) was to make more information available specifically about markets, to smallholder farmers. The core idea was to provide information to farmers and traders about current market prices in different markets around the country. This was done by building a network of entrepreneurs who regularly collected the price information and sent it to a central collecting Internet platform facility.
This report describes the 2012 NAIS Assessment was piloted in 4 countries: Botswana, Ghana, Kenya and Zambia. Data were collected through a survey questionnaire, open-ended interview questions, and data mining of secondary sources. A team led by a national coordinator took charge of data collection from various partner organizations in each country.
Grants for agricultural innovation are common but grant funds specifically targeted to smallholder farmers remain relatively rare. Nevertheless, they are receiving increasing recognition as a promising venue for agricultural innovation. They stimulate smallholders to experiment with improved practices, to become proactive and to engage with research and extension providers. The systematic review covered three modalities of disbursing these grants to smallholder farmers and their organisations: vouchers, competitive grants and farmer-led innovation support funds.
Commercial Villages Stores (CVS) Programme has been developed and is being implemented by Farm Concern International (FCI) with financial support from USAID/COMPETE (the Competitiveness and Trade Expansion Program) in Kenya and Uganda. The programme, which commenced in September 2009, is aimed at graduating smallholder farmers from subsistent farming to market-oriented production as active and reliable agri-commodity value chain players.