Grâce à l’analyse des capacités réalisée en complément des activités visant à améliorer la nutrition, les parties prenantes ont pu obtenir une vue d’ensemble des obstacles auxquels les institutions sont confrontées en Ouganda.
Le manque de capacités individuelles et organisationnelles compromet souvent l’impact à long terme de programmes qui par ailleurs sont techniquement solides. La FAO a donc mis au point des outils destinés à aider les pays à déterminer les déficits de capacités et à répondre à leurs besoins réels de manière durable. La présente note décrit
Les pays investissent une grande partie de leur budget de renforcement des capacités dans l'apprentissage et la formation. Quelles mesures faudrait-il prendre pour s'assurer que ces investissements donnent des résultats utiles ? Le cycle de gestion de l'apprentissage élaboré par la FAO donne des précisions sur les étapes à suivre pour créer des activités d'apprentissage efficaces. La présente note d'information met en lumière les éléments principaux de ce processus et fournit des liens vers les outils et le matériel d'orientation.
Fall Armyworm (Spodoptera frugiperda), or FAW, is an insect native to tropical and subtropical regions of the Americas. In the absence of natural controls or good management, it can cause significant damage to crops. It prefers maize, although it can feed on more than 80 additional species of crops including rice, sorghum, millet, sugarcane, vegetable crops and cotton.
La FAO, IBM et Microsoft cherchent des moyens concrets et durables d’utiliser l’intelligence artificielle dans le respect des principes d’éthique approuvés par le pape François 24 septembre 2020, Rome - Lors d'une manifestation organisée aujourd'hui à l'Académie pontificale pour la vie, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), IBM et Microsoft ont réitéré leur engagement en faveur de la mise au point de formes d'intelligence artificielle (IA) qui soient inclusives et promeuvent des moyens durables de concrétiser la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
This document is part of the project “Strengthening the adaptive capacity to climate change in the fisheries and aquaculture sector of Chile”, executed by the Undersecretariat of Fisheries and Aquaculture and the Ministry of the Environment, and implemented by the Food and Agriculture Organization of the United Nations, with funding from the Global Environment Facility. The work was implemented in four pilot coves: Caleta Riquelme (Tarapacá); Caleta Tongoy (Coquimbo); Caleta Coliumo (Biobío); and Caleta El Manzano-Hualaihué (Los Lagos).
Innovation has a high potential for increasing productivity and farmers’ income,l and consequently reducing poverty and improving food security. However several tropic al countries lack the resources and capacities to suitably develop their agricultural innovation systems. To address this gap, the g20 established the tropical agriculture platform (tap), a multilateral dynamic facilitation mechanism, which fosters better coherence and greater impact of capacity development for agricultural innova tion systems in tropical countries.
In Asia and the Pacific, the UN’s Food and Agriculture Organization (FAO) is working with member countries to leverage breakthroughs in information and communication technologies (ICT) to fight hunger, improve nutrition and counter the effects of climate change and extreme weather events that can devastate farmers and their crops. In the Philippines, a country prone to typhoons, aerial drones are taking to the sky to map out at-risk areas of agricultural land to mitigate risk. This innovative practice is also able to quickly assess damages when a disaster strikes.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.