Carbon accounting and labeling are new instruments of supply chain management and, in some cases, of regulation that may affect trade from developing counties. These instruments are used to analyze and present information on greenhouse gas (GHG) emissions from supply chains with the hope that they will help bring about reductions of GHGs.
Livelihoods, food security, and development processes in Sub-Saharan Africa are highly dependent on land management practices to generate natural ecosystem goods and services. Out of a total population of about 717 million people, almost 60 percent depend for their livelihood on agriculture, hunting, fishing, or forestry. However, unsustainable land management already is leading to large-scale land degradation trends, which pose a threat to food security and poverty alleviation in Sub-Saharan Africa. Climate change threatens to exacerbate and add to the existing vulnerabilities.
This review aims to identify key issues and opportunities needed to bring current Agricultural Education and Training (AET) systems up to the needed capacity. This paper first looks at the opportunities identified in the preliminary research. Next the paper looks at some of the many pitfalls learned from previous AET work that should be avoided moving forward. Lastly the paper gives a brief explanation for some of the key areas that the preliminary research identified as requiring further research and study in a modern day context.
One of the most important challenges for the researchers in the 21st Century is related to global heating and climate change that can have as consequence the intensification of natural hazards. Another problem of changes in the Earth's climate is its impact in the agriculture production. In this scenario, application of statistical models as well as development of new methods become very important to aid in the analyses of climate from ground-based stations and outputs of forecasting models. Additionally, remote sensing images have been used to improve the monitoring of crop yields.
Le recueil crée un cadre qui permet de standardiser les
méthodes de sélection des indicateurs et propose une liste d’indicateurs de base
pour assurer le suivi et l’évaluation des activités du secteur de l’agriculture et
du développement rural (ADR). Sa finalité est d’améliorer la qualité du suivi et
de l’évaluation des programmes d’agriculture et de développement rural aux
niveaux national et mondial.
Le S&E est intrinsèquement difficile à réaliser et exige un niveau de capacité
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
A lo largo de su historia, los servicios de Extensión y Asistencia Técnica en América Latina y el Caribe han sido un instrumento focalizado, mayormente, hacia la pequeña agricultura como una forma de mejorar las condiciones de vida en el entorno rural y llevar tecnologías (conocimientos) que sirvan no solo para aumentar la productividad, sino que devengan en un motor del desarrollo y un medio para alcanzar la seguridad alimentaria.
Este documento es una respuesta práctica a las necesidades que hemos observado a lo largo de los años por parte de los equipos técnicos y de actores sociales involucrados en los procesos de gestión del desarrollo rural en territorios. Es un material que asesora y que no debe ser aplicado como si fuera un formulario burocrático, de forma mecánica.
L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».