The success of multi-stakeholder ARD (Agricultural Research for Development) partnerships is often attributed to stakeholder interaction and knowledge exchange, collective learning and establishment of mutual trust between the partners involved. Achieving these outcomes depends very much on the leadership of the partnership, and how this leadership relates to partnership facilitation and also project coordination and/or management. This brief explores the different skills and attitudes required by leaders of ARD partnerships, and how these relate to different contexts.
Cette note d'information a été produite lors de la réunion des ministres de l'Agriculture de l'OCDE en 2016. Cette note se concentre sur le rôle des systèmes d'innovation agricole (SIA) par rapport à la performance de performances économiques, environnementales et sociales de l'agriculture.
Les démarches de développement local sont assez standardisées : à partir d'un diagnostic territorial, on met en oeuvre un appui technique et financier aux organisations locales, pour la réalisation de projets dont elles assureront la gestion. Mais les organisations locales sont de nature variée, toutes n'ont pas forcément envie de gérer les équipements qu'elles demandent ; ceux-ci sont plus ou moins complexes à gérer et certains relèvent des prérogatives communales. Enfin, le diagnostic initial dépend de la logique d'ensemble de l'action.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Small-scale farmers' experimental innovations have not generally been considered for on-farm research trials as those in the traditional sector have been perceived as recipients, rather than originators, of technical knowledge and sustainable and viable practices. Yet there is abundant evidence throughout the tropics that small-scale farmers are adaptive and experimental problem solvers, and experts at devising innovative survival strategies. While literature on the topic is rich with accounts from Africa, Asia and Latin America, there is a general dearth of examples from the Caribbean.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Dans le besoin urgent de lutter contre le changement climatique, une priorité essentielle est de renforcer la capacité de ces groupes et communautés les plus vulnérables, et déjà fortement affectés, à améliorer leur capacité à adapter leurs systèmes de subsistance.
Entre 2016 y 2017, la Dirección Nacional de Extensión Agropecuaria (DNEA) de Costa Rica coordinó un proceso de diálogo y consulta dentro de la institución y con otras entidades relacionadas con la extensión y la innovación agropecuaria, con el acompañamiento de la FAO, la CEPAL y consultores asociados a la Red Latinoamericana de Servicios de Extensión Rural (RELASER), para desarrollar un nuevo enfoque de los procesos de acompañamiento técnico y fortalecimiento de capacidades de los productores agropecuarios, con el fin de crear sistemas intensivos en información y conocimiento.
This paper outlines key areas of intervention that are identified as the core of FAO's strategy on strengthening Agricultural Innovation Systems (AIS) across multiple areas of work (e.g. research and extension, agroecology, biotechnology, green jobs, resourcing etc.) for achieving sustainable rural development.
The private sector dominates biotechnology research in industrialized countries, but there are major market failures in developing countries in accessing the new tools and technologies. The public sector, national and international, will have to play a major role in filling this gap. This paper provides an overview of options that countries of different sizes and capacities can employ to gain access to the research tools and technologies that they need to address issues of relevance to poor producers and consumers.