The objective of this report is to assess the usefulness of providing guidance for scaling up good practices in core ARD business lines, and to test the prospects for doing so. The output of the document is a guide for a systematic discussion on scaling up of Competitive Grant Schemes (CGSs) for agricultural research and extension at key decision points during the life of an ARD project. This report addresses the other end of the state-of-practice spectrum - good practices and beyond.
The presentation was delivered to a conference entitled "Science Protecting Plant Health" in Brisbane on September 26th 2017 and then in private policy briefings to ACIAR (Australian Centre for International Agricultural Research) and DAWR (Australian Government Department of Agriculture) in Australia. The presentation includes description of the role of the Tropical Agriculture Platform (TAP) and case study examples from CABI’s work to describe capacity building at the levels of individual, organisation and enabling environment.
This review is an information resource for development practitioners, development agencies and funders of development activities who have an interest in assessing capacity for agricultural innovation in developing countries, including the developing regions of sub-Saharan Africa. In the context that further investment in the agricultural capacity of developing countries is recognised as a development priority, the review explores what is known about the “tools” (i.e. concepts and methods) which are available to guide assessment of innovation capacity in these countries.
Los artículos reunidos en este volumen se basan en las ponencias presentadas por los expertos que participaron en el seminario internacional “Políticas para la agricultura en América Latina y el Caribe: competitividad, sostenibilidad e inclusión social”, realizado en la sede de la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL) en Santiago los días 6 y 7 de diciembre de 2011.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
La prise de conscience de l'importance des répercussions environnementales des activités agricoles ont généré une rupture du "statut d'exception" dont jouissaient les activités agricoles. De fait, les exploitants agricoles sont de plus en plus sollicités pour adopter des innovations environnementales, susceptibles d'atténuer les répercussions négatives et plus récemment de renforcer les fonctions positives (cf. les débats récents sur la multifonctionnalité).
Dans plusieurs domaines des sciences sociales et humaines (éducation, communication, travail social, économie sociale, médecine communautaire, technologie rurale, et pratiques politiques et syndicales, entre autres), et même dans les sciences dites « dures », la recherche appartient de moins en moins à un monde à part de spécialistes éloignés du terrain. Ce type de recherches – recherche participative, recherche-action, recherche collaborative, recherche-formation – se caractérise par un processus de production des connaissances effectué de concert avec les acteurs de terrain.
Le système d’innovation est un concept clé pour l’analyse des changements socio-techniques qui renvoie à une structure et à des fonctions qui contribuent à développer et à diffuser l’innovation. Cet article propose une approche originale d’analyse d’un système d’innovation au travers des processus de diffusion spatiale d’un produit agricole : l’anacarde (noix de cajou). Les formes et les vitesses de propagation des vergers d’anacardiers sont analysées et mises au regard de la structure et des fonctions du système d’innovation.
Ce rapport final dresse le bilan des activités scientifiques engagées dans le cadre du projet Adap’Terr « L’adaptation au changement climatique : les défis d’une approche intégrée pour les territoires ? ». Ce volume de synthèse, présentant les principaux résultats, s’organise en trois parties. Une première partie précise certaines questions que posent pour l’aménagement et l’urbanisme l’action climatique locale, afin de développer un cadre conceptuel en mesure d’analyser les initiatives locales face au « problème climat ».
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.