Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
Cette édition illustre la possibilité d'utiliser les biocarburants comme source alternative au pétrol.
L’agriculture paysanne, valorisée dans le rapport remis par les experts de l’IAASTD, participe au développement durable. Forte utilisatrice de main d’œuvre, caractérisée par une utilisation raisonnée des intrants sur des cultures extensives, elle participe également au maintien du tissu social rural. L’agriculture paysanne est en général familiale. Les membres de la famille sont soucieux de préserver l’exploitation pour les générations futures.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
Individual farmers often receive low prices for their harvest, and pineapple producers in Bangladesh are no exception. To help them, CDAIS facilitated a series of meetings and coaching. Starting with a capacity needs assessment workshop in April 2017, a coaching plan was developed to meet capacity gaps identified by the partnership of pineapple producers, complete with an action plan. The partnership also participated in a ‘marketplace’ event in Dhaka, a regional policy dialogue and two phases of capacity-building training. The result?
Innovation platforms are fast becoming part of the mantra of agricultural research and development projects and programs with an innovation objective.
This paper presents and discusses a diagnostic framework to identify institutional processes in the creation of public-private partnerships (PPPs) for agricultural innovation. The diagnostic framework proposed here combines a conceptualisation of institutions with a conceptualisation of technology. We argue that a performative notion of institutions provides a better tool for institutional diagnostics than the common understanding of institutions as ‘rules of the game’.
The purpose of this report is to provide some of the groundwork in answering the question of how the CGIAR system and other public agricultural research organisations should adapt and respond to an era of transformation framed by the SDGs. It does this by exploring the way in which this transformation agenda reframes agricultural research and innovation.
This paper addresses the question how public-private partnerships (PPPs) function as systemic innovation policy instruments within agricultural innovation systems. Public-private partnerships are a popular government tool to promote innovations. However, the wide ranging nature of PPPs make it difficult to assess their effects beyond the direct impacts they generate for the partners.