Lesotho's agricultural system faces a growing number of climate-related vulnerabilities with droughts, floods, pests, and extreme temperatures occurring more frequently. In response, the Government of Lesotho is collaborating with the World Bank to integrate climate change into the country’s agriculture policy agenda through the Lesotho Climate-Smart Agriculture Investment Plan (CSAIP).
Le projet RIVAGE veut favoriser l’adoption de pratiques alternatives pour gérer les impacts de la pollution diffuse dans le bassin versant de la rivière Pérou en Guadeloupe. Son objectif est de produire et partager les connaissances sur les processus, les impacts et les pratiques innovantes avec les acteurs du territoire. Pour faciliter la prise en compte des résultats, le projet a créé une « école-acteurs ». L’école-acteurs est un espace d’échanges autour des thématiques liées à la pollution diffuse agricole.
Les ruralités aux Suds sont marquées par une augmentation des flux de personnes et de biens et par des systèmes de mobilités diverses et complexes. Rappelant les raisons qui ont contribué à négliger les mobilités et la pluriactivité dans de nombreux travaux de recherche sur les ruralités aux Suds, l’article propose un modèle d’analyse original, sous le nom de Systèmes Familiaux Multilocalisés, qui permettrait de mieux articuler l’analyse des flux, des liens, et des temporalités mobilitaires, dans les recherches sur les systèmes de pluriactivités développés selon des logiques familiales.
Ce rapport présente l’évolution récente des Systèmes d'innovation agricole (SIA) et examine l’incidence d’une large gamme de politiques sur la création et la diffusion de l’innovation dans le secteur agricole et agroalimentaire. Il propose un cadre pour analyser le rôle des pouvoirs publics dans le renforcement de l’innovation, afin d’aider á identifier des actions concrètes pour améliorer la productivité, l’utilisation durable des ressources et la capacité des systèmes nationaux et mondiaux agricoles et agroalimentaire á s’adapter aux évolutions futures des marchés.
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne.
L’étude a contribué à améliorer la chaîne de valeur (CVA) maïs grain blanc grâce à des liens et relations plus structurés entre ses acteurs. L’Approche Recherche Intégrée pour le Développement a été utilisée à travers le suivi strict de toutes ses étapes pour installer une plateforme d’innovations dans la commune de Matéri et promouvoir les relations inter-acteurs. Les résultats de l’application de l’approche multi-acteurs ont fait ressortir le maïs grain blanc comme chaîne de valeur prioritaire dans la zone d’étude.
L’exploitation agricole familiale des oasis occidentales du Sahara algérien évolue dans un contexte de difficultés lié au déclin des ressources en eau (amenée par les galeries des foggaras) au faible revenu tiré de l’agriculture et à la diversification des activités, au profit de celles non agricoles, plus rémunératrices. À ces facteurs s’ajoutent les effets d’une atomisation de la propriété agricole oasienne, due à l’indivision foncière en rapport avec l’accroissement démographique.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».