International Food Policy Research Institute (IFPRI) partnered with the Asia-Pacific Association of Agricultural Research Institutions (APAARI) in 2011 to conduct a series of policy dialogues on the prioritization of demand-driven agricultural research for development in South Asia. Dialogues were conducted with a wide range of stakeholders in Bangladesh, India, and Nepal in mid-2012 and this report captures feedback from those dialogues.
This Module is the third in a series of four that address capacity development competencies in FAO. It is intended to enhance FAO’s practices in designing, developing, delivering and evaluating its activities in support of learning in Member Countries, while ensuring that learning leads to sustainable capacity development.
In order to facilitate improved returns to research and development in African agriculture, the innovation systems approach which engenders the involvement of multiple stakeholders in its innovation pathway, has been proposed. Despite the potential of this approach, the understanding of its implementation and particularly of the process of setting up its multi-stakeholder platform is still largely lacking. Yet, this platform is critical to the success and sustainability of the operations of the platform.
This manual describes a number of tools that can be used in courses to facilitate the process of reflecting on the knowledge and experiences participants acquire, with the aim of making their leaning more explicit and articulated and contribute to their professional performance in their own working context.
Michael Kügler, from the Brussels Office of the EU-Platform of Chambers of Agriculture, presented the EU-Innovation Partnership (EIP),designed to support knowledge transfer, coop-eration, and collective investment, at the 3rd GFRAS Annual Meeting, "The Role of Rural Advisory Services in Agricultural Innovation Systems", 26-28 September 2012, Philippines. He referred to the need to pursue innovation in a cross-sectorial approach, interlinking existing initiatives, facilitating communication, providing value added through networking, and achieving syner-gies.
Les « modèles d’entreprises inclusives » ont fait l’objet d’un regain d’intérêt ces dernières années, dans le cadre de débats plus généraux concernant l’accroissement des investissements agricoles dans les pays à faible revenu. Ce rapport se penche sur les coentreprises dans le secteur agricole sud-africain. L’expérience de l’Afrique du Sud présente des caractéristiques propres liées à son histoire et à son récent programme de réforme agraire. Les bénéficiaires de la réforme agraire se sont embarqués dans diverses coentreprises avec des partenaires commerciaux.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
Les conséquences sur les territoires des changements climatiques d’origine anthropique sont variables dans leurs expressions comme dans leurs effets, et les territoires sont inégaux face à ces variations climatiques en termes d’exposition aux effets (fonction de facteurs physiques, sociaux, économiques, culturels, politiques, etc.) comme en termes de capacité de réponse (capacité d’appréhension, d’anticipation, de réparation, etc.).
Gérer un espace sensible sur un plan écologique suppose un dispositif de gestion qui repose sur un montage institutionnel, des équilibres politiques souvent subtils, et des règles de partage des responsabilités, des coûts et des ressources. La réussite de la gestion tient à la capacité à faire vivre ce dispositif, qui résulte souvent de longues négociations et traduit des équilibres parfois fragiles.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.