In the 90’s first steps were taken in Cuba to strengthen family farming. A participatory seeds breeding, multiplication and diffusion project started, a challenge to Cuban scientists, not used to involve farmers in the decision making process and recognizing them as equal partners. This project further evolved to become the Local Agricultural Innovation Programme, Spanish acronym PIAL (Programa de Innovación Agropecuaria Local).
This policy brief consolidates lessons learned from an in-depth literature review on small-scale farmer (SSF) innovation systems and a two-day expert consultation on the same topic, hosted in Geneva by Quaker United Nations Office (QUNO) in May 2015. This review draws together published literature on the evolution of the concept, how on-farm innovation systems function in practice, and the roles of outside actors in supporting them.
This brief explores the definition of Agricultural Knowledge and Information System (AKIS) and the inventory of AKIS in Europe.
The impressive performance of improved varieties of high-yielding, heat-tolerant wheat developed in Sudan has convinced Nigerian decision makers that a viable solution to their country’s growing dependence on wheat imports is domestic production – a policy shift that will protect Nigerians from the vagaries of global commodity markets and strengthen national food security. The brief describes this solution.
This brief was prepared for the "Session Partnerships for Livelihood Impacts" of the second Global Conference on Agricultural Research for Development (GCARD2), that took place from 29 October to 1 November 2012 in Punta del Este, Uruguay. According to this document, new organizational arrangements which place the user of research central in the definition of research priorities and in uptake processes are required.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
Les systèmes alimentaires et agricoles actuels parviennent à fournir de grandes quantités d’aliments sur les marchés mondiaux. Cependant, les systèmes agricoles à forte intensité d’intrants externes et de ressources sont à l’origine d’une déforestation massive, de pénuries d’eau, d’une perte de biodiversité, d’un épuisement des sols et d’importantes émissions de gaz à effet de serre. En dépit des progrès significatifs accomplis récemment, la faim et l’extrême pauvreté demeurent des problèmes cruciaux au niveau mondial.
L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.