Multi-stakeholder platforms (MSPs) have been playing an increasing role in interventions aiming to generate and scale innovations in agricultural systems. However, the contribution of MSPs in achieving innovations and scaling has been varied, and many factors have been reported to be important for their performance. This paper aims to provide evidence on the contribution of MSPs to innovation and scaling by focusing on three developing country cases in Burundi, Democratic Republic of Congo, and Rwanda.
This project report from Wageningen UR (as a contribution to the CGIAR Humid Tropics research program) examines critical issues for reflection when designing and implementing research for development in innovation platforms’. The current document therefore aims to increase awareness about the complexity of research in innovation. The underlying idea is that innovation platforms can facilitate institutional changes and support system innovations through increased interaction, negotiation and learning between stakeholders, including (new) roles of research(ers).
Innovation Platforms (IPs) are seen as a promising vehicle to foster a paradigm shift in agricultural research for development (AR4D). By facilitating interaction, negotiation and collective action between farmers, researchers and other stakeholders, IPs can contribute to more integrated, systemic innovation that is essential for achieving agricultural development impacts. However, successful implementation of IPs requires institutional change within AR4D establishments.
The three system CGIAR research programs on Integrated Systems for the Humid Tropics, Dryland Systems and Aquatic Agricultural Systems have included “capacity to innovate” as an intermediate development outcome in their respective theories of change. The wording of the intermediate development outcome is “increased systems capacity to innovate and contribute to improved livelihoods of low-income agricultural communities.” This note captures the CGIAR's collective thinking about this intermediate development outcome from a systems perspective to clarify it and inspire other programs.
Consumer concerns are leading to changes in China’s food markets and demands for higher quality food. In this article, we explore the role of farmer cooperatives in China in linking farmers with high-quality food markets. We consider food quality a social construct and farmer cooperatives key players in the ‘quality battlefield’. Using a case study approach, we investigate the everyday practices of three farmer cooperatives.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
Les politiques d'innovation dans les filières agricoles en Côte d'Ivoire depuis 2011 reposent sur la création d'un dispositif de transferts technologiques qualifié de "Plateformes d'Innovation", pour introduire des plants de variétés et d'hybrides améliorés. Cet article s'intéresse particulièrement aux conséquences des "Plateformes d'Innovation Banane Plantain" (PIP) dans la réorientation des choix technologiques locaux. Il interroge leurs résultats sur l'amélioration de l'indépendance alimentaire.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.