A new generation of information and communication technologies (ICTs) is finding a small foothold among poor, small-scale farmers in developing countries. Even so, many barriers still prevent poor rural people from accessing, using, and benefiting from new ICT tools and platforms, and those barriers are arguably higher for rural women. The relationship between gender and agriculture has been studied intensively over the years, and many agricultural interventions now include gender as a crosscutting issue or mainstream gender throughout their operations.
This case study zooms in on multi-stakeholder processes in the East and Central Africa (ECA) Action Area or Flagship that were launched on 20 May 2013 in Bukavu, DR Congo. The ECA Flagship encom-passes the Rwanda, DR Congo, Burundi, Uganda, Kenya and Ethiopia Action Sites. More specifically, the case study describes and reflects upon the first two years of CGIAR Humidtropics in DR Congo. aiming to outline the multi-stakeholder process as it unfolded and highlight lessons that can be learned from this.
Humidtropics adopts an integrated systems perspective. Instead of tar-geting one single pre-selected commodity and trying to boost its produc-tivity at farm level, Humidtropics focuses on stimulating productivity, nat-ural resource management (NRM) and institutional innovations across different levels in order to achieve more sustainable impacts. It consid-ers all farm enterprises and their interactions, as well as nutrition, social differentiation (e.g.
Lors de la conception de projets, il importe de faire intervenir les parties prenantes locales le plutôt possible afin de veiller à ce que les activités de renforcement des capacités répondent vraiment à leurs besoins. Les processus multipartites peuvent aussi mener à à une plus grande appropriation des activités et des résultantes des projets. La présente étude de cas offre un exemple de processus multipartite mis en place avec succès au Soudan pour renforcer les systèmes d’information sur la sécurité alimentaire et la nutrition dans quatre États.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.
En 1995, SOS Faim entamait une première collaboration avec la coopérative La Florida dans la ‘Selva Central’, forêt semi-tropicale du centre du Pérou. Cette coopérative de petits producteurs de café sortait d’une grave crise suite à la présence importante du mouvement Sentier Lumineux dans la région : plusieurs dirigeants avaient été assassinés et les infrastructures détruites. En phase de redynamisation, elle recherchait une garantie pour obtenir un crédit auprès d’une banque locale pour collecter la production de ses membres et la commercialiser de manière groupée.
To support the multi-stakeholder process in Burundi, the national research institute ISABU (Institut des Sciences Agronomiques du Bu-rundi) was requested to act as the facilitating organisation. ISABU had previously partnered with the CGIAR centres in Burundi under the CIALCA program that had supported partnerships to coordinate activities and stimulate demand-driven research. With the aim of building on existing collaboration and activities, it was decided to re-engage with former CIALCA partners, including ISABU.